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Beau-Week-end en Sologne

BEAU WEEKEND EN SOLOGNE ENTRE amis coureurs, voila quelques mois que cette aventure prenait naissance dans nos esprits, depuis les 6h de Beauchamps, des sorties longues ensemble avec Philippe et Hervé, voire même plus accompagnée de Anna, Jean Paul, Christian et Eric en vélo pour le soutien. Merci  à vous.

Arrivés sur place avec Philippe, la tente installée, les dossards retires, nous voilà partis visiter le bar du coin, et lire le journal local où il parle de la course, en attendant Hervé et Jean Michel.

Une fois toute l’équipe réunie, retour au foyer rural pour orienter Jean Michel sur notre coin camping.

Nous voilà déjà à l’heure de la pasta, très bonne, et les affaires prêtes pour la course.  Levé 5H15, petit déjeuner, douche, strapping, et c‘est déjà 6H10 quand je regarde ma montre. Je devrais peut être me dépêcher, mon ravito de départ n’est pas prêt.

Dans la salle du foyer à discuter quand une bénévole nous indique que c’est l’heure, nous sortons et nous voilà dans la grise nuit avec ce départ à 6H30.

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Nous voilà sur la ligne de départ, “bonne course à tous” et le coup de départ est donné.  100 coureurs au départ commun avec celui du 50 km ou 50 coureurs sont inscrits.

Il s’agit pour moi de faire une sortie longue a allure régulière, tester le matériel, la boisson, le protocole “Aurélia”  et visiter cette région que je ne connais pas.

Ma montre est réglée sur une fourchette comprise entre 10 et 11 km/h, l’alerte sonne en dessous et au-dessus de cette fourchette.

Les kilomètres se sont enchainés, en compagnie de Jean- Michel  jusqu’au 40ème. Souvent j’entends ma montre qui  sonne et c’est souvent au-dessus de 11 km/h, donc je me freine pour respecter cette allure de 10,5.

Au 50ème (4h38) , je me dis que je viens de faire environ mon entrainement du mardi au jeudi, un peu moins mais je me dis aussi que je vais rentrer dans le kilométrage du weekend.

En courant avec un coureur après le 50ème il me dit que lui il a toujours un coup dur au 80ème. Moi je me suis fixée jusqu’au 70 comme allure tranquille, alors je décide de rester sagement jusqu’au 80ème. C’est mon premier, je ne connais pas, histoire de voir ce qui va se passer. Rien, il ne se passe rien, je suis dans ma fourchette d’allure tout va bien. Je regarde ma montre et me dit que dans 2h c’est terminé, déjà. Je laisse aller. Je suis sur la parcours un accompagnateur vélo qui a laissé son coureur au 70ème, et au 90ème  km (8h24) il me dit “super le 94, laisse rouler jusqu’au bout”. Les bénévoles m’annoncent 3ème femme. Alors les arrêts se font rapides au ravito et malgré cette allure à respecter, je ne compte pas laisser ma place.

Sauf que la montre sonne car je dépasse les 11 km/h et je me dis que c’est trop vite, qu’il faut ralentir comme tout le long de ce 100 km. Finalement arrive le 95 puis tous les kilomètres sont affichés, je vois Hervé au 97ème et je remonte tranquille jusqu’à lui, lui propose de finir ensemble, mais il a des crampes et n’arrive plus à courir en continu. Je laisse Hervé, puis voilà le panneau du 99ème  km, c’est le dernier il faut en profiter. Et me voilà franchissant la ligne d’arrivée. Hervé arrive 3’ après. Nous attendrons  Jean Michel puis Philippe qui arrivent aussi et franchissent cette ligne d’arrivée des 100 km.  Nous voilà cent bornards avec Hervé. Philippe et Jean Michel ayant déjà finis des 100 km.

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Bravo à tous et bonne récupération

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