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Paris-Versailles : la voie Royale

Selfie place du trocadéro devant "Paris 2024"

Selfie place du trocadéro devant "Paris 2024"

A la suite de Muriel Podolak et Pascal Page qui avaient été séduits par l’épreuve l’an passé une belle délégation asphaltienne s’est inscrite sur la Course du Roi Soleil, Paris – Versailles, 16 kilomètres dont la fameuse côte des Gardes qui constitue dès le sixième kilomètre de la course un obstacle réel pour les 25 000 partants.

Sandrine Davin, Fabienne Debailleux, Nathalie Duterte, Isabelle Morisson, Nathalie de Roo, Muriel Podolak, Virginie Leclert, Valérie Richard encadraient solidement donc Paul Flauder, Cédric Faucher, Pascal Page et Christian Pallandre venus pour en découdre. Sous un chaud soleil, 24 degrés à l’arrivée, les asphaltiens partirent en vagues successives, c’est une originalité de la course parfaitement organisée par ailleurs par Paris Versailles association, il faut le souligner (consigne, sécurité, accueil bénévole, fléchage…).

Partant de la Tour Eiffel l’épreuve, propice aux clichés photographiques pris du Trocadéro ou du pont d’Iéna, serpente le long du fleuve avant de s’élever par une pente accusant jusqu’à 9 %. C’est la fameuse Côte des Gardes de Meudon. Il ne faut pas mésestimer les deux kilomètres de cette montée car en sus de la pente certains inscrits peu au fait de la difficulté peuvent avoir tendance à l’affronter à un train rapide qu’il est toujours fâcheux de suivre.

Certes certains avaient avalé un petit croissant ou un pain au chocolat avant la course mais ceci n’explique pas tout car la sensation de fatigue se répercute rapidement dans les mollets (Virginie peut en attester) et le beau, très beau parcours forestier qui suit n’est que la juste récompense des efforts fournis. Bien conseillées par Anne Lemouel, Sandrine, Isabelle, Fabienne se sont joué progressivement des difficultés. L’arrivée sur la longue avenue précédant le château est une merveille. Sur une aussi grande avenue que l’avenue de Paris on peut donner toute sa vitesse et Nathalie Duterte et Sandrine Davin n’y ont pas manqué par exemple. Comme il était prévu de se retrouver à une position prévue à l’avance (le drapeau « Dublin ») il a été facile de se congratuler et de promettre revenir encore l’an prochain car véritablement cette épreuve, devenue une grande classique mérite de venir. L’accueil de très nombreux scouts souriants était pour quelque chose dans la réussite ainsi que l’application et l’implication des bénévoles.

Les temps chronométrés doivent être relativisés car on regarde volontiers le beau paysage et, en plus, il y a de nombreux espaces vallonnés à franchir jusqu’à l’arrivée. D’ailleurs on ne vient pas à Paris-Versailles pour faire un temps tellement l’épreuve est atypique. On vient pour être heureux, c’est quelque chose de suffisant.

Isabelle et Muriel, prévoyantes avaient amené leur automobile sur place et offert le voyage retour. Confort !

Fares Bouatta

978ème

En 1h11’07’’

Mireille Broussard

19297ème

En 1h51’34’’

X sous dossard de Guillaume Briffault

1619ème

En 1h14’18’’

Nathalie De Roo

19389ème

En 1h51’56’’

Olivier Bastardie

2123ème

En 1h15’53’’

Fabienne Debailleux

19470ème

En 1h52’14’’

Paul Flauder

4216ème

En 1h20’57’’

Valérie Richard

19864ème

En 1h53’54’’

Nathalie Duterte

12048ème

En 1h34’43’’

Jean-Marc Richard

19871ème

En 1h53’55’’

Christian Pallandre

13122ème

En 1h36’33’’

Sandrine Davin

20063ème

En 1h54’49’’

Pascal Page

13717ème

En 1h37’41’’

Isabelle Morisson

20353ème

En 1h56’26’’

Virginie Leclert

15031ème

En 1h40’10’’

Muriel Podolak

20446ème

En 1h56’57’’

Delphine Broussard

19293ème

En 1h51’33’’

Marie Claude Loigerot

21384ème

En 2h05’10’’

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