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Course de Nogent la Baltard

Ce n’est pas tous les jours que l’on peut courir dans son arbre généalogique. Pour beaucoup d’entre nous, asphaltiens de Nogent, c’était le cas ce matin.

Sur la même course avec Daniel P., Michèle P. Thierry L. pour ne donner que trois exemples c’est Nogent qui vient courir à domicile et faire connaître le parcours solidement pentu de la sous-préfecture à la Marne et vice-versa.

On sait que Nogent est une ville ancienne, qu’on y a retrouvé un cimetière mérovingien tout en haut de la côte Watteau mais y courir c’est se rendre compte que c’est autre chose qu’une ville de vendanges, c’est une ville de coteaux.

En partant du stade Alain Mimoun, longeant la Marne sous un ciel magnifique  et un soleil câlin on arrive vite au pied de la côte des anciennes guinguettes, devenue pour l’occasion montée Baltard puisque l’ancien bâtiment des halles s’y trouve et nous offre le plaisir de la contourner. Ensuite descente jusqu’à un faux-plat et la très sèche remontée de la Rue Bauyn de Perreuse qui longe le lycée. C’est là que les habitués commencent à remonter le peloton des non nogentais partis trop vite car après la descente du parc Watteau et la montée Agnès Sorel les positions s’égrènent dans l’herbe de la propriété Smith Champion, beauté-plaisance magnifique.

Deux fois ce plaisir nous a été offert (il y avait aussi la possibilité de ne faire qu’une boucle) et la seconde boucle faisait penser que nous avions bien de la chance de ne pas être partis la veille avec Laurent sur la Course des 24 heures de Vierzon ni dans les hortillonnages des cent kilomètres d’Amiens où Saïd, Latifa et Jean-Yves occupaient chacun une dizaine d’heures.

Baltard c’est un peu la course du bonheur d’autant plus que les organisateurs, délicieuse attention, avaient raccourci le parcours ce qui fait que chacun avait tendance à être satisfait de son chrono.

Sur 10km, 1er en 31’37’’, 234 coureurs classés.

Olivier Catrou

8ème, 2ème VH1

En 33’42’’

Guillaume Pensier

90ème, 18ème VH2

En 43’10’’

Laurent Cellier

​15ème, 3ème VH1

En 35’30’’

Frédéric Pichon

95ème, 28ème VH1

En 43’28’’

Simon St Lô

26ème, 14ème SH

En 36’53’’

Elisabeth Oliveira

106ème, 5ème VF1

En 44’09’’

Philippe Le Gac

30ème, 4ème VH2

En 37’47’’

Edwige Trotin

115ème, 6ème VF1

En 44’48’’

Thierry Lardenois

37ème, 6ème VH2

En 38’37’’

Florian Germond

132ème, 39ème SH

En 45’27’’

Philippe Hugault

47ème, 9ème VH2

En 40’09’’

Michèle Pironnet

134ème, 3ème VF2

En 45’51’’

Didier Lobo

57ème, 1er VH3

En 40’46’’

Marie-Françoise Meunier

136ème, 1ère VF3

En 45’56’’

Daniel Perrin

58ème, 2ème VH3

En 40’47’’

Christian Pallandre

158ème, 10ème VH3

En 47’14’’

Alain Waterschoot

75ème, 3ème VH3

En 41’50’’

Morena

Rolland-Monnet

221ème, 16ème SF

En 56’58’’

Paul Flauder

81ème, 16ème VH2

En 42’19’’

 

 

 

Jack Salmon seul représentant du club sur le 5 km mais 1er de sa catégorie en 29’17”

Jury : Sylvaine Lobo, Dodo, Gérard Omnès et Jean Sparhubert

Les photos de Bhel et Sylvaine : https://goo.gl/photos/kPLcngRkbV6X2jsa7

Course de Nogent la Baltard

3 Comments

  1. María Péron

    Bravo à tous pour vos performances dimanche matin! L’asptt Valence vous salue depuis le 10km de Romans sur Isere! Bon vent les amis! Je vous embrasse!
    Maria

  2. Christian

    L’Asphalte tient aussi à souligner la performance de Maria en 43 minutes 15 sur dix kilomètres à Romans.La route des championnats de France est ouverte. Il va y avoir du sport. Christian

  3. Guillaume

    Bravo Maria à qui l’air de la Drôme semble réussir !

    Comme le souligne Christian, courir à Nogent ce n’est que du bonheur tant cette ville chargée d’histoire est verte et pentue !

    J’en profite pour manifester ma gratitude à la municipalité Nogentaise qui a su mettre en place les moyens nécessaires au bon déroulement de cette course malgré les contraintes sécuritaires ; j’associe par avance dans la même reconnaissance la municipalité de Fontenay-sous-Bois qui maintient elle aussi la compétition prévue le 15 octobre.

    Ces deux exemples rompent, et il en était temps, avec un calendrier d’automne où seules les courses ‘à pognon’ pouvaient avoir lieu.

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