Quelques « flash back » qui me reviennent.
Le stress qui monte dans la voiture. Enorme embouteillage pour atteindre les parkings ! Cette course attire de plus en plus de monde. Et on le comprend : organisation conviviale et parfaite !
Notre superbe entente et bonne humeur en tant que supportrices pour le 10km puis pour le marathon. Les sourires ou les signes amicaux des coureurs que nous encourageons.
Valérie que je veux accompagner sur ses 2 derniers km du 10km. Quand je la rejoins, elle me dit « je n’en peux plus, je marche… ». Je la pousse à repartir en petites foulées. Elle repart cahin-caha. Elle évoque un besoin de sucre et prend un chewing-gum ; deux cent mètres plus loin, nous passons devant les percussionnistes, et là, là… Elle accélère et me lâche, impossible de la suivre, elle est partie dans son élan !
Les visages serrés des marathoniens qui sont « dans le dur » après déjà 35km de course.
Les heureux et les déçus de leurs performances : le marathon est tellement exigeant !
La pluie et le froid qui ne refroidissent pas notre enthousiasme.
Un grand moment d’émotion en parcourant avec Flora, notre « pitchoune » d’Athlé-Santé, et son père les dernier km de son premier marathon, à domicile JC’est juste énorme !!!
La belle forêt de Sénart et les sentiers aperçus qui font frémir d’envie nos baskets (je n’ai pas demandé à celles de Maria). Nous imaginons un beau dimanche d’entrainement dans cette forêt que nous découvririons avec Flora pour guide, un bon pique-nique (nous étudierons la météo à l’avance) puis nous enchainerions avec des danses sur des percussions qui sortiraient des baffles d’un énorme lecteur de CD portable… Et pourquoi pas ?
Comme toujours, bravo à l’esprit de l’Asphalte qui nous a fait passer de si bons moments partagés.