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Papy for ever

Dimanche 10 Juin, foulée royale de St Germain.

Partie de Jambettes au royaume du château de saint Germain en Laye où de nombreux rois de France se sont succédés depuis Louis VI le gros à la naissance de Louis XIV. Magnifique circuit empruntant sur près de 2 x 2 km la terrasse offrant une vue exceptionnelle sur la capitale.

Les ‘manants’ de L’Asphalte ont omis de venir. Papy n’a eu que plus de mérite à défendre bec et ongles les couleurs du maillot durant 10km.

L’emploi du temps du jour ne m’a pas permis de visiter le musée des antiquités nationales.

J’y retournerai lorsque je serai à la retraite sportive…

 

24 Juin: La ‘Montatou’, une course verte 100% nature à quelques lieues de la capitale du trail Mondeville (les carrières, le cul d’enfer…)

Bons dénivelés qui agressent les jarrets, sable qui s’immisce dans les chaussettes, racines et pierres insidieuses qui exacerbent notre vigilance.

papy choisit la distance modeste, il n’est pas…encore devenu…un traileur aguerri!

12km:   Jean-Yves Stibler, 1h20’41”, 38ème VH2

            Pierre Koch,         1h37’02”, 2ème VH4

21km:   Cyrille Schwellnus 1h32’37”, 10ème SH

 

Samedi 30 Juin, au ‘Trail du muguet’ tracé dans les bois de Chaville, la cueillette des divines clochettes fut un fiasco…Par contre, nous pûmes revenir at home avec les brassées de courbatures, les jambes tétanisées et la rage de recommencer.

Le classement du 10km indique Pierre Koch, 2ème VH4, mais surtout Amaarouk Mohamed 1er VH3. Excellent athlète des années 80, il connait bien Dodo.

2 Comments

  1. christian pallandre

    La discrète allusion au Musée des Antiquités Nationales de Saint Germain (institution qui ne peut concerner en aucune façon aucun coureur de l’Asphalte du plus jeune au plus aguerri) nous met en
    émoi. Aurons-nous la force de faire autant que ceux qui courent ainsi à travers bois et forêts, qui rassemblent bicyclettes (le jour de la Saint Thierry, en plus, le 1er juillet) et sandalettes
    spartiates pour donner du coffre au violet et vert ou sommes nous forcés de reconsidérer une devise célèbre pour l’écrire altius, fortius, asphaltus finiraient ils par arriver
    ? Je suis ravi de connaître les exploits de P. Koch et les beaux endroits qu’il fréquente moi qui ne sort jamais de mon lit avant l’heure de l’entraînement. C’est pour cela que nous les aimons
    nos camarades et nos matins de course et de mise au net des nuits d’avant.

    CP

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