Auray Vannes
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t oui, même en vacances, il y a des courses. Le boucher du supermarché m’a taillé une bavette parce que je portais le tee-shirt Auray-Vannes. Et il me dit ‘mais il y a une course vendredi prochain, vous verrez, c’est écrit dans le journal’. et effectivement, dans le journal, on annonce les foulées du large, 8 kilomètres, frais d’inscription entièrement reversés à tribu cancer (http://www.tribucancer.org/ ). Et moi qui pensait pouvoir continuer à boire de la bière bretonne et manger de la mayonnaise avec mes fruits de mer ! 10 jours que je n’ai pas couru, il est temps de s’y remettre ! Et c’est vrai que c’est formidable de courir en bord de mer le matin, ou de traverser la lande, (et derrière nous s’éclairait l’Irlande, on the road again), quasiment seul. sorties d’une heure le mercredi matin donc, pareil le vendredi, pas de bière, et départ le vendredi 26 juillet à 17h00. Même technique que pour les foulées de Bussy Saint-Georges, qui partaient à la même heure, sieste, et au réveil, un café bien sucré.
Il ne fait pas trop chaud, et je fais une course très régulière, autour de 5’15” au kilomètre, pour finir en 42 minutes 6 secondes en temps officiel.
114 00:42:06 TANGUY PIERRE 13 V2 ASPHALTE 94 11.40KM/H
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our Auray Vannes, communiquer le numéro de licence lors de l’inscription par internet aura suffi, je n’aurai que ma pièce d’identité à présenter. Gros coup de chance au niveau météo, les averses orageuses sont passées très vite et une heure avant le départ. Et attendre 3 heures sur la zone d’activité de Pluneret passe finalement très vite. Je suis avec mon ami Pierre avec qui j’ai couru le marathon de New-York et déjà Auray-Vannes l’an dernier. C’est un parcours exigeant, qui commence en montée, se poursuit en faux plat montant, puis on redescend doucement, et on remonte, on descends franchement et au 7ème kilomètre, un bon raidillon, la cote de Baden, qui amène au pied de l’église du village, où comme chaque année, binious et cornemuses encouragent les coureurs. Mais il n’y a pas que la musique : tout au long du parcours, le public est très présent et se fait entendre, pas seulement pour encourager leurs proches. On redescend légèrement jusqu’au km 12, mais après, c’est encore une petite montée suivie de 3 kilomètres de faux plat montant. vers le km 16, on redescend pour arriver à la cote du Vincin, le ‘juge de paix’ de cette course. ça monte franchement, et il y a un peu de fatigue, mais les encouragements du public nombreux sont là aussi. A la sortie de cette cote, nous sommes rattrapés par le meneur d’allure ‘moins de 2 heures’, du club endurance 72. Alors on s’accroche, il nous passe, on suit, et puis finalement on le laisse derrière nous au 20ème kilomètre, pour un dernier kilomètre qui parait plus long que les autres, mais le stade de Kercado est là, et nous réussissons à sprinter pour finir en 1h59’51’ officiel ! Objectif atteint. Et un bol breton de plus dans la collection.
place dossard officiel réel passage au 10
3155 3910 QUEMERAS Pierre VH2 CESSON-SEVIGNE 461 01:59:51 01:58:51 3278 00:56:54
3154 3909 TANGUY Pierre VH2 ASPHALTE 94 460 01:59:51 01:58:52 3280 00:56:54
Pierre Tanguy
10km de Joinville
Olivier Catrou |
7ème, |
En 36’35’’ |
Jean-Jacques Dongay |
157ème, |
En 47’41’’ |
Richard Fraile |
26ème, |
En 38’57’’ |
Alexandra Coulaud |
178ème, |
En 48’51’’ |
Frédéric Coler |
79ème, |
En 42’56’’ |
Nathalie Duterte |
197ème, |
En 50’10’’ |
Patrick Rolland M. |
139ème, |
En 46’34’’ |
Bhel Rolland-M |
200ème, |
En 50’21’’ |
Christian Pallandre |
140ème, |
En 46’34’’ |
Edwige Trotin |
301ème, |
En 1h38’08’’ |
307 coureurs classés, 1er en 33’36’’.
10km forestier de Roissy en Brie
JN. Maria |
163ème, |
En 44’04’’ |
JB. Buisson |
293ème, |
En 48’56’’ |
P. Koch |
536ème, |
En 1h07’29’’ |