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Vive les France (2)

Didier Lobo, 2ème Master 4 au championnat de France de Semi-Marathon

Didier Lobo, 2ème Master 4 au championnat de France de Semi-Marathon

Longue sortie chaude  en Bretagne
L histoire, dit-on, est faite par les vainqueurs. C est César qui a écrit "la guerre des Gaules" pas Vercingétorix. Aujourd'hui je n ai pas gagné, je n ai pas perdu, j ai fait autre chose lors des derniers championnats de France du semi marathon le 15 septembre entre Auray et Vannes. Vous connaissez l’adage : "On ne perd jamais. On gagne ou l’on apprend". Dimanche avec  trente minutes de plus que mon temps habituel, j ai appris.
Après m’être qualifié lors des championnats du Val de Marne avec un temps de 1h50  on pouvait espérer non un podium, il y a Didier Lobo ou Daniel Perrin pour cela, mais une belle course car en Morbihan il ne fait jamais chaud disait-on. 
Il faut changer de paradigme. En Bretagne il fait torride surtout si l’on donne le départ de la course à treize heures…

Le déplacement en autocar entre le stade Kercado de Vannes et la zone artisanale d’Auray d’où était donné le départ nous donnait le ton. Ce serait un imbroglio de côtes au premier, quatrième, seizième et dix-huitième kilomètre qui ferait la sélection. Mais plus que tout, la chaleur d’une course dense qui mélangeait, ce n’est pas souvent, les coureurs qualifiés et les inscrits de la course ouverte faisait parler les esprits.  Il n est pas si fréquent que je sois dans un sas prioritaire devant une foule de trois mille athlètes mais cela a été le cas pour ce championnat où les qualifiés étaient placés avant tout le monde. Surprise, le sas fut ouvert cinq minutes avant le départ ce qui créa une bousculade géante entre les premiers rangs avides de la course ouverte à tous et les derniers rangs matures qualifiés au championnat de France.

Je m étais donné pour objectif de finir sans faire sauter le cardiologue à la fin. Il fallait être prudent. 2h15 était l objectif car il importe à la fois de rassurer les collègues asphaltiens qui pourraient s’inquiéter des suites d’un effort trop violent et assurer la présence du maillot au cœur de la course. Dès le départ chaleur de four. On parlait de trente degrés à l’ombre et cavalcade effrénée des champions qui vous écrasent pour finir en 1h20 et moins. Difficile d’éviter la chute dans les premiers pas et de ne pas s'arrêter dès le ravitaillement en eau pris d’assaut. Le reste est un long cheminement, en dessous des possibilités réelles sans doute mais en privilégiant l’arrivée car les ambulances et les motos de sécurité évacuaient nombre de présomptueux,  jeunes et moins, que l’on trouvait dans l’herbe et sur le macadam. Les deux derniers kilomètres courus à un rythme accéléré donnèrent l’occasion de doubler enfin, il y a 580 coureurs après moi tout de même, et de sprinter sur les trois cents derniers mètres de piste. 

Long cheminement où le mental et le physique se sont continûment entretenus ces championnats de France resteront une  épreuve particulière qui mettent en valeur supplémentaire l’exploit de Didier et les performances des autres asphaltiens  sans oublier Roger Hellenis, mon hôte, engagé sur le dix kilomètres. 

Christian Pallandre

Vive les France (2)

A défaut de faire un temps, on aura gagné un bol

Ouest-France a raison pour le bol et le reste, « c’était la dérive totale » entre Auray et Vannes exceptée pour notre Didier toujours national, avec son titre de vice-champion de France. Que de bonheur de le voir rayonner sur le podium ! Une course difficile avec le cagnard et les reliefs autour du golfe du Morbihan. On a démarré la fleur au fusil à 13 heures sans vraiment savoir ce qui nous attendait. Il a fallu ensuite lâcher les secondes puis les minutes entre cotes et faux plats. Ce n’est pas le parc de Choisy ! Course sympa (finalement) avec le demi-tour de stade pour se libérer. On y revient dans 5 ans, en 2024, pour un championnat de France. Je signe tout de suite. Bravo aussi à Isabelle pour son super temps !

Jérôme Glachant

 

 

Temps réel

 

 

 

Olivier Catrou

260ème, 105ème MH1

En 1h27’10’’

Isabelle Corneille

535ème, 9ème VF2

En 1h39’35’’

Jérôme Glachant

358ème, 69ème MH2

En 1h31’30’’

Didier Lobo

600ème, 2ème MH4

En 1h42’26’’

Alain Gardini

362ème, 71ème MH2

En 1h32’25’’

Christian Pallandre

1028ème, 18ème MH4

En 1h23’14’’

Asphalte 94, 36ème par équipe hommes en 6h14’15’’ (41 équipes classées) ; 24ème par équipe Master (29 équipes classées)

 

Sur le 10km, 1H11’ pour Roger Hellenis dans les mêmes conditions difficiles

Behl, oubliée sur les résultats de la course de la rentrée, nous prouve qu’elle fait bien partie de l’Asphalte

Behl, oubliée sur les résultats de la course de la rentrée, nous prouve qu’elle fait bien partie de l’Asphalte

10km de Joinville

Sur 5km, 1er en 16’18’’, 69 coureurs classés.

Alain Watershoot

39ème, 1er MH3

En 23’21’’

Raoul Ripa

42ème, 4ème MH3

En 23’39’’

Philippe Doublet

41ème, 3ème MH3

En 23’34’’

Pierre Koch

69ème, 1er MH5

En 39’30’’

Sur 10km, 1er en 32’36’’, 363coureurs classés

Mouloud Ikhaddalene

20ème, 3ème MH1

En 37’09’’

François Ovalde

161ème, 21ème MH2

En 48’43’’

Joël Nicolas

25ème, 2ème MH2

En 38’33’’

André Boniface

171ème, 24ème MH2

En 49’18’’

Alexandra Coulaud

65ème, 2ème MF1

En 42’52’’

Alexandre Laidet

194ème, 47ème MH1

En 51’01’’

Paul Flauder

94ème, 1er MH3

En 44’52’’

Michèle Pironnet

197ème, 1ère MF3

En 51’07’’

Jean-Yves Cardella

113ème, 3ème MH3

En 45’39’’

Behl Rolland-M

229ème, 1ère MF2

En 53’34’’

Cyril Baud

120ème, 30ème MH1

En 46’11’’

Monique Lhomer

238ème, 2ème MF3

En 54’08’’

Pascal le Hir

132ème, 4ème MH3

En 46’53’’

Morena Rolland M.

313ème, 33ème SF

En 1h00’34’’

Elisabeth Oliveira

141ème, 6ème MF1

En 47'22’’

Patrick Rolland M.

316ème, 38ème MH2

En 1h00’58’’

Christian Poyac

161ème, 40ème MH1

En 48’40’’

 

 

 

 

Robert Marchand, le champion de Pierre Koch (107 ans de vélo)

Robert Marchand, le champion de Pierre Koch (107 ans de vélo)

10km de la fête de l’huma

Samedi, banquet des vétérans juste en face de mon camarade Robert Marchand. Faire du sport et avoir des convictions, peut-être le gage de la longévité ?

Dimanche, 10km. La suite, c’est huitres ET aligot, vin blanc ET vin rouge, mojito ET muscat. A l’huma, je suis toujours seul à moins que je ne manque quelqu’un…A chacun son communisme.

 

Guillaume Pensier

63ème, 4ème MH2

En 47’45’’

 

 

 

 

Semi-Marathon des 3 villes sœurs (Eu, Mers les Bains, Le Tréport)

L’organisation met le couvert. Elle propose un Semi-Marathon labellisé, un 10km lui aussi labellisé, un 5km, et un 13km marche « athlétique ». Et pour ceux qui ne peuvent pas, il y a encore un 5km en randonnée et une course enfants de 1,5km.

Moi, j’ai surtout pensé aux copains qui allaient en baver cet après-midi. J’ai droit à un départ à 9h30 le matin, pas de côtes, des passages dans le bocage, de l’ombre en ville, un passage en bord de mer jusqu’en bas du funiculaire sous la falaise vers le Tréport, puis sous l’œil des célèbres maisons à colombages du front de mer de Mers-les-bains.

Ici, j’ai fêté mon premier 10km au dessus des 40’ il y a quelques années, et je fête aujourd’hui mon premier semi au-dessus de l’heure ½. Je vais tout de même pas en pondre une pendule. On profite d’un des derniers beaux week-end de l’année à la campagne.

 

Jean-Michel Objois

39ème, 5ème MH2

En 1h31’53’’

 

 

 

 

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