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10km de Vincennes

10km de Vincennes

Par Jean-Michel Corty :

Bien qu’inscrit avec mon numéro de Licence et également de Club, j’ai couru ce beau dimanche ensoleillé sous les couleurs Mauve de l’Association Laurette Fugain, qui lutte contre la leucémie. C’est également en Mauve que je vais courir le Marathon de Paris, le 03/04, en compagnie de 20 autres coureurs de mon entreprise (Malakoff Mederic-Groupe de protection sociale) Les Foulées de Vincennes couru en 49mn parmi un flot de participants, dont Papy Koch, était donc un entraînement à 6 semaines de l’échéance. Promis, aux Foulées de Charenton, je porte le maillot étendard de l’Asphalte. Daniel C pris en flagrant délit lui aussi (vu en rouge..) sera t’il lui aussi au rendez-vous?

10km de Vincennes

Par Olivier Catrou : Citius !

Vincennes, c’était pour moi une découverte, une étape entre les régionaux et les LIFA, un peu de « billard » dans un océan de boue. De toutes façons j’avais prévu de guider mon ami Martin sous les 40’, bref de gérer un 39’, étant finalement seul, je me dis que je vais gérer – donc pas de stress, pas de pression, une course de plus pour le challenge.

Peut-être finalement la meilleure manière d’approcher la course…

Pourtant, 3 heures de Kizomba, Salsa et Bachata la veille, peu de sommeil, le genou douloureux, un sas qui me relègue et m’oblige à zigzaguer un peu au départ, rien d’engageant pour un bon chrono. Et pourtant…

Marrant le départ, deux colonnes, les pairs et les impairs, qui se rejoignent au bout de l’esplanade. Histoire de montrer que c’est les impairs qui courent, qui courent … le plus vite (à moins que ce ne soit les pairs Daniel ?).

Et puis il y a plein de monde, on se laisse enivrer. Passage au 1er km en 3’30, pas mal compte-tenu des 5 secondes perdues au départ et des zigzags. Je me sens étonnamment bien. Normalement, après le premier kilo, on freine, sauf que là on s’enivre toujours 6’58 au 2, et cela continue encore et encore. Je laisse un peu filer au 7ème, je suis déjà en avance de 25 secondes sur mon record 10 km de l’ère asphaltienne, je ne veux pas exploser, mais l’encouragement amical de Gégé sur le bord de la route au 8ème et tout est relancé. L’arrivée est proche, je me sens toujours bien. Je franchis la ligne – je crois voir 34’49, soit 51 secondes de moins que mon meilleur chrono 2015. Je n’y crois pas. Le temps officiel confirme 34’52 (34’47 en réel). D’agonisant à l’arrivée des régionaux de cross la semaine passée, je me retrouve en pleine forme devant le château avec un chrono bien sympa en poche.

Bilan : un parcours roulant et plutôt agréable, une équipe de 4 courageux asphaltiens, avec des chronos très encourageants pour Daniel et Jean-Michel, et une mention particulière pour l’inoxydable Papy, toujours présent sur l’asphalte mais aussi pour encourager, toujours au bout, toujours en forme. Une leçon de volonté et de persévérance. Chapeau bas.

Alors le secret de la vitesse ?

•              l’alimentation bio,

•              la kizomba,

•              le parcours roulant (cela aide aussi),

•              ou plutôt un entrainement cross de l’hiver, qui rend chaque foulée sur le bitume si étonnamment facile ?

A méditer pour ceux qui fuient les pointes (de vitesse ?)

Course élite

Olivier Catrou 93ème, 19ème MH1 En 34’52’’

Daniel Cossec 1064ème, 102ème MH2 En 42’32’’

Course populaire

Jean-Michel Corty 905ème, 111ème VH2 En 49’23’’

Pierre Koch 3637ème, 3ème VH5 En 1h11’58’’

 

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