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San Sebastian/Donostia, 6ème marathon d’Automne

Par Philippe D, Roger H, Jean-Michel O, Patrick RM, Bhel RM et Anne LM

Philippe D :

Dis, c’est quoi le marathon d’Automne ?

Bah, c’est un week-end d’Automne où des asphaltien(ne)s, ex-asphaltien(ne)s et proches se réunissent dans une ville Européenne.

Elles et ils le font pour assouvir leur passion commune de la course à pied, se challenger et s’encourager mutuellement, fabriquer des souvenirs sportifs et culturels inoubliables et construire des amitiés durables.

Pour cette 6ème édition, c’est à San Sebastian -Donostia au Pays Basque Espagnol que nous nous somme retrouvés à 31 ( coureurs et accompagnateurs ) pour le week-end du 26 Novembre avec 3 courses au programme (10K, 21K, 42K ).

Un week-end court ou prolongé agrémenté de randonnée, visites culturelles et moments conviviaux avant ou après les courses où toutes et tous ont apporté leur pierre à l’édifice pour faire de cette édition l’un des meilleurs millésimes du Marathon d’Automne !

Une parenthèse enchantée en cette saison monotone, qui fait du mal aux jambes mais du bien au moral.


Patrick RM :

C est entre 2 pluies et le soleil a peine levé que nous avons couru sur un parcours plat ces 10k. Au début nous avions un peu de mal a nous frayer un chemin car trop de coureurs pour la largeur de la route, rapidement il y a eu moyen de mieux dérouler la foulée, il y avait beaucoup de beaux immeubles construits autour des coureurs et de la route. Rapidement l arrivée est arrivée et nous avons ralentis et arrêté notre course sous les vivas de la foule. Le lendemain un bon bain bien revigorifant a été pris l eau fraiche de l’ocean.

Merci à tous les organisateurs de ce sejour et en particulier à Philippe qui nous fait voyager culturellement et sportivement, et aux autres participants pour les bons moments passés ensemble.


Jean -Michel :

Dimanche, j’ai mis le clignotant.

J’étais alors sur le semi, à ma place dans la course, pas loin du meneur d’allure des 3 heures au Marathon.

Douleur au mollet, au 7ème, j’arrête de tirer sur la bête, au 9ème, game-over.

Le parcours étant une série de boucles en ville, ni l’hôtel ni l’arrivée n’étaient bien loin.

A l’approche de l’hôtel, je retrouve Cocote, d’autres super copains arrivant du 10km et venus encourager la troupe.

Nous nous retrouvons tous rapidement sur le bord du parcours pour encourager nos Marathoniens.

Formidable :

  • D’encourager les coureurs par leur prénom sur les derniers kilomètres en les pressant de donner le meilleur d’eux-mêmes,
  • D’encourager les copains tous dans leurs chronos espérés pour les booster sur les derniers kilomètres,
  • D’y perdre la voix…
  • D’y être encore, puisque je n’ai pas encore le recul nécessaire à voir l’épreuve depuis l’extérieur,
  • De m’y chercher, puisque tous ces coureurs, je leur ressemble. Où suis-je ?
  • D’applaudir les copains dans leurs derniers mètres, tellement heureux d’y être arrivé.
  • D’appeler les filles de La Rochelle à l’arrivée et de partager nos bonheurs respectifs.

Formidable week-end : Le greenwashing du train, la rando, le musée des cultures basques, le repos du guerrier après la course.

D’autres vous parlerons du bain du lendemain…

Le repos du guerrier


Roger HELLENIS :

Pour la sixième fois, je fais partie de ceux qui font le marathon d’automne. Et, à chaque fois, je ressens un plaisir
intense à retrouver tous ces coureurs de l’Asphalte, connus ou moins connus, avec lesquels nous allons partager du
bonheur. Bien entendu, je me limiterai au 10 km, mais cet engagement suffit pour me faire courir chaque semaine et me
motiver toute l’année.
Car, à 81 ans, j’aime encore courir, même si je ne fais que du footing, 6 à 8 km en moyenne, en bavardant le long des
sentiers côtiers ou en contemplant ces si beaux paysages de mer, le long du Golfe du Morbihan…

La course à pied… J‘en parle souvent à mes voisins, mes amis, à mon médecin, mon kiné… Et ma foi, j’en suis fier, car
je suis arrivé à convaincre un certain nombre de retraités pour venir courir avec moi… Il est vrai que, pour moi, la
course à pied ne peut être un plaisir solitaire, c’est un vrai sport collectif ! J’ai besoin des copains…
Athènes, c’est loin déjà! Et chaque année, je re-signe car j’éprouve la même fébrilité et le même plaisir à participer à
nos nombreux échanges sur WhatsApp, avant de nous retrouver… Et nous voilà une bonne trentaine à San Sébastian,
coureurs et accompagnateurs de tout âge et de tout niveau, que le plaisir de la course à pied rassemble.

Samedi, aprés nos longues déambulations dans les rues de San Sébastian ou de Bilbao, j’étais comme perclus de
douleurs articulaires, dans les épaules et au niveau des hanches. La nuit, j’ai peu dormi. J’étais très pessimiste et je me
demandais comment j’annoncerai, dimanche matin, que je jetais l’éponge…
Mais, c’est le miracle de la compétition, le matin, toute douleur avait disparue et je me suis senti prêt à repartir au
combat…, avec, comme la si bien dit Philippe, Anne mon meneur d’allure et Robert, le frère de Dominique.
Sur les conseils d’Anne, nous nous sommes mis en queue de peloton… Je pense maintenant que c’est une erreur
stratégique car, à mon allure, on y reste jusqu’à la fin…et, à part quelques rares coureurs que nous avons dépassé, nous
sommes toujours restés bien isolés. En revanche, certes, le public vous voit bien et j’ai eu droit à des « allez Roger » qui
m’ont porté jusqu’à la fin… Merci Anne, merci Robert, grâce à vous, j’ai terminé dans le temps escompté…
Ensuite, dès 17H dimanche après-midi, sous la houlette experte de Philippe, nous avons tous échangé nos impressions
sur la course avant de partager moultes agapes… J’avoue que j’ai toujours la même émotion à vous écouter et à
retrouver, dans vos différences, l’âme de l’Asphalte. Car, nos différences nous rassemblent.
Depuis, comme chacun d’entre vous, anonyme ou champion, j’ai consulté ma chère GARMIN et analysé ma course.
Vous ne serez pas surpris, j’ai trouvé une marge de progression, et je vais revenir plus fort l’an prochain…
Vous le savez, à partir de la longueur de la foulée et de la cadence par minute, on calcule l’allure moyenne… Mais, las,
j’ai perdu ma foulée d’antan et ma cadence est quand même un peu moindre, donc mon allure moyenne s’en est
fortement ressentie…
Pour les spécialistes que vous êtes, cette année, ma foulée est réduite à 0,75m et ma cadence est tombée à 167 pas par
minute… Mon projet pour 2024, car je reviendrai l’an prochain, et de faire de la qualité. Oh ! très peu par séance, en
essayant de retrouver une foulée minimale de 0,80m et une cadence de 175 pas par mn. Autrement dit, revenir à moins
de 1h15. Qu’on se le dise…


Bhel Rolland-Monnet :

Je suis allée jusqu’au bout de mon Self Challenge habituel : finir le Marathon avec la corde à sauter ! Comme à celui de Nice-Cannes, l’année dernière.

San Sebastián, oui pourquoi on est la? Eh ..bah pour courir le Marathon !

San Sebastián c’était mon seul choix que j’ai coché sur la liste proposée.Pourquoi ? Parce qu’après le Marathon de Deauville avec météo pourrie, je souhaitais courir dans un endroit avec un ciel lumineux.

Nous n’avons pas choisi l’option arriver le jeudi pour faire le rando surtout 3 jours avant le marathon, je me sens pas assez costaud pour le faire..

C’était formidable, nous avons tous logés dans le même Hôtel. Bon choix car il est super bien placé, proche du départ et de la plage Cocha. Une organisation impeccable et les info très claires.

Après avoir récupéré nos dossards, retrouvailles, suivies d’un dîner ensemble.

Laurent a la gentillesse de me rappeler que les garçons prévus finir en moins de 4H. Pas moi en tout cas !

Dimanche à 9H, nous voilà à la plage Cocha, très belle, grande et surtout très propre. Patrick court les 10 Km et il viendra pour m’apporter les affaires pour se baigner après la course !

J’étais mitigée, je n’ai pas eu de SL ces derniers temps mais j’ai confiance à mon mental.

Après le départ du 10km, le départ est lancé pour les 2 courses, ensemble : le Semi et le Marathon!

Je profite du parcours, je prends des photos. C’est magnifique la vue de la montagne et la mer <3

Premier passage devant notre Hôtel, les camarades sont là pour encourager ! Ça fait plaisir d’avoir de tels encouragements ! Rien que de les voir, cela m’a donné de l’adrénaline pour continuer ma route, j’étais plutôt bien (2h57 au 30 km). Puis comme d’hab, mes crampes sont revenues au galop, et mes mains étaient gelées, j’ai eu du mal à fouiller dans mes poches pour me ravitailler…

J’ai donc attrapé le gel qu’ils distribuaient 😫 Oui ! c’est une erreur … qui m’a donné des douleurs abdominales, petit à petit je me suis affaiblie. J’ai senti mon ralentissement. J’ai commencé à compter pour me donner un but pour aller jusqu’au au bout. Alleeeez 37 km.. 38km40… C’est formidable j’ai les larmes aux yeux lorsque je vois les Asphaltiens/Asphaltiennes qui sont là à chaque coin de mon chemin. Roro mon coach qui m’encourage et Marie tout de suite qui m’a conduit, elle a vu ma difficulté d’avancer.

Très contente d’aller au bout de mon self challenge “ finisher avec la corde à sauter qui est mon grand délire”

Très grand merci à vous tous de m’avoir attendu et encouragé.

Encore une grande merci Philippe de nous embarque dans cette 7eme Aventure du autumn Marathon et merci à ceux qui ont participé à l’organisation, merci également ceux qui n’ont pas couru et qui sont dévoués de nous supporter.

Le must : la baignade après la course 😉


Anne Le Mouel :

Encore une super édition du marathon d’automne de l’Asphalte ! Déjà la sixième et j’ai le sentiment que ce n’est que le début ! Après vote et lettre de motivation (la destination se mérite !) nous voilà partis pour San Sebastian, joyau du pays basque espagnol.

Avec quelques chanceux, nous sommes arrivés dès le jeudi après-midi, ce qui nous a permis de découvrir la magnifique baie de la Concha le soir même !

Le lendemain, sportifs obligent, nous voilà partis pour une randonnée de 20km ! Entre mer et collines, un vrai régal ! Et nous plantâmes héroïquement la banderole Asphalte sur le plus haut sommet 😉

Contrairement à Daniel C. que rien n’arrête (!) je n’aurais jamais crapahuté ainsi 2 jours avant un marathon !!!

Comme rien ne nous arrête, 12 km de visite de la ville la veille de la course constituèrent la partie culturelle de notre séjour. Si vous allez là bas, ne manquez surtout pas le musée San Thelmo !

Ah ! Pas de pasta party… 🙁  

Confirmation : les pâtes sont une spécialité italienne et non espagnole 😉 en revanche la paella ! :p

Dimanche : enfin le jour J !

Effervescence au petit déjeuner, la pression se ressent…

Le semi et le marathon partent à 9h, le 10 à 8h20, juste après le lever du soleil !

Roger s’est demandé toute la nuit comment nous annoncer qu’il n’allait pas courir… mais finalement au matin tout allait bien. Stress de cadet 😉 heureusement car cela fait un an que je me prépare pour courir avec lui !!!

Les coureurs du 10 partirent tôt vers le départ accompagnés de super supportrices 😀

Parcours sympa car nous pouvions nous croiser quelques fois. Pour une fois  Roger partit à une allure raisonnable et accompagné de son beau-frère Robert et de moi-même il a parcouru les 10km avec une régularité étonnante, s’offrant même un sprint avant l’arrivée. Mais pour les encouragements, il n’y en avait que pour lui! Robert et moi pouvions « nous brosser ».

Temps froid mais beau soleil tout le dimanche, nous nous sommes retrouvés pour encourager le semi et nos valeureux marathoniens. Ambiance formidable !

Quelques tapas et glandouille au soleil plus tard, avec en prime un tour de grande-roue, nous nous retrouvions pour l’apéro débriefing traditionnel… moment émouvant.

Après quelques verres et dans la chaleur de la salle prêtée par l’hôtel,  Daniel Cossec (encore lui !) nous proposa d’aller nous baigner le lendemain matin.

Aïe le lendemain, sous un petit crachin et à jeun, c’était une autre histoire …

Mais bon, quand on joue les kakous, on y va jusqu’au bout 😉 et nous voilà 8 à l’eau, pour le clou du week-end ! Encore un super week-end ! Nous sommes déjà tous prêts à repartir l’an prochain pour une nouvelle édition !!!


Les résultats de l’Asphalte 94 :

 10K 21K 42K
Philippe D55min 39s  (SB)Cyrille H1:39:20Thierry B3:12:56 (PB)
Nathalie D56min 47sHervé B1:40:35Ismael L3:34:01
Patrick R M58min 50sNicolas M1:50:03 (SB)Alexandre L3:48:38
Marie B1:00:25Angela R2:09:40Vincent D3:52:34 (PB)
Nathalie D R1:11:29 (SB)Jean-Michel ON.C Blessure 🙁Jean-François A3:57:49
Laurent F1:11:29 (Meneur d’allure 🙂 )Daniel C3:58:04 (Touriste)
Roger H1:21:04 (SB)  Gilles H3:58:24 (PB)
  Christian M3:58:24
  Bhel R M4:17:12
    

7 Comments

  1. Thierry Berthelemy

    Un grand merci à Philippe (l’influenceur🫡) et toutes les petites mains qui ont permis à nouveau l’organisation de cette tradition asphaltienne.👍

    En plus de pratiquer notre passion, c’est l’occasion de se cultiver: il n y a pas que les jambes qui fonctionnent 🏃🏾‍♂️la tête également au cours de ce week-end.🤓
    NB le deuxième cerveau,L’estomac, n’est pas oublié également.😋

    En prime, nous avons eu le droit à une session cryotherapie pour se préparer pour les prochains RDV de la saison.🌊🥶🤣

    En tout cas, j’étais ravi d’avoir participé à cette deuxième édition en Espagne et j’ai hate de découvrir la prochaine destination pour la septième en cette année des JO.

    Pour conclure une tradition qui fait aimer encore plus l’automne 🍂🍁😆

  2. Laidet

    Bravo à toute la Team Asphalte et aux accompagnateurs.
    Merci à notre guide Philippe pour ce moment sportif et convivial!😊
    Merci à tous pour les encouragements ✌️

  3. Vinzzz

    Effort physique, partage, encouragements réciproques, bienveillance, sens collectif, massages, bain dans l’Atlantique et plaisir étaient au rdv de ce 6ème marathon d’automne (le 2nd pour moi).
    Merci à Philippe pour l’organisation et à tous les participants-es.
    10, 21 ou 42 il y en avait pour tous les goûts.
    Superbe aventure que cet Asphalte délocalisé le temps d’un week-end.
    Vivement la prochaine édition…

  4. Olivier C.

    Effectivement cela a tout l air d une superbe aventure. Superbe aventure qui dure depuis plus de 6 ans et qui donne envie à tous et en premier lieu à ceux qui comme moi n ont pas encore participé d’y aller… bravo à l’équipe qui a porté outre Pyrénées nos couleurs. Il nous tarde déjà de rêver à la prochaine destination. A la prochaine AG? parce que l aventure ne saurait s’arrêter là. Encore nos remerciements à Philippe pour porter la flamme !
    A noter que sur le site nous n affichons que les résultats des adhérents du club (licenciés et sympathisants indifferemment), c est une règle générale que nous veillons à respecter, même s il y a une transition en début de saison pendant la période de renouvellement des adhésions. Et nous nous félicitons que cet événement rassemble anciens et actuels adhérents autour de notre passion commune.

  5. Philippe DOUBLET

    Thierry bien trop modeste a omis de signaler qu’il avait battu son record sur marathon tout comme Vincent et Gilles ! Bravo à eux. Quand aux remerciements qui me sont adressés ils vont aussi à Francine (Conseillère Culturelle), Nathalie (Organisatrice en chef) et toutes celles et ceux qui ont contribué au succès du WE (coureurs et accompagnateurs/trices).

  6. hervé BIHOUEE

    C’était ma première participation a ce marathon d’automne, qui devient une tradition.
    Le mélange découverte d’une ville et compétition m’a beaucoup plu !
    Tout le monde était ravi de son séjour et la question qui nous taraude tous : On va ou l’année prochaine ?
    Un grand merci a tous pour ce séjour qui restera dans nos mémoire !

  7. Daniel

    Ce qui m’amène à vous écrire une semaine après le marathon d’automne à San-Sebastian, objet principal de notre déplacement cette année dans le Pays Basque espagnol, c’est pour vous relater ce séjour qui a dépassé mes attentes et vous faire ressentir cet esprit de camaraderie toujours présent lors de nos déplacements.
    En effet, dès le jeudi soir pour les premiers arrivés sur les lieux d’exploits de certains, nous avons gouté aux spécialités locales tels que la sangria, la paëlla et les tapas. Avec modération et appétit chacun a pu déconnecter, s’imprégner de l’ambiance locale, des terrasses.
    Le lendemain comme prévu c’est la découverte de la région en rando sur le camino de Santiago de Compostela. La légère bruine au démarrage a été sans impact sur la motivation des 10 marcheurs. Incontestablement c’est une belle journée en plein air sur des sentiers divers : chemins argileux, herbe rase, cailloux sable et rochers. De belles vues et perspectives sur la côte basque du côté français et espagnol lorsque nous avons pris de la hauteur. En fin de journée après plus de 20km, brève traversée en bateau pour rejoindre avant la nuit notre port d’attache. Une organisation impeccable.
    J’en viens à la course, mais d’abord il y a eu l’habituelle visite culturelle la veille. Du San Telmo Museoa je retiendrais les formidables fresques aux murs de la chapelle. Elles ne datent que de 100 ans mais leur restauration bien expliquée était indispensable.
    Pas le temps de s’ennuyer sur le parcours du marathon pour ceux comme moi qui en même temps ont découvert la ville plus largement. Les croisements de coureurs partis plus tôt et plus vite me permettent de leur lancer des encouragements et de prendre quelques clichés. Malheureusement peu de photos réussies en course par la faute du photographe qui aurait dû ralentir plus ou s’arrêter.
    L’emplacement de notre hôtel sur le parcours a permis aux coureurs du 10km puis du semi de rapidement nous encourager après leur douche. J’ai eu un bref échange avec un coureur dont j’ai partagé quelques foulées au 8ème et 27ème. Je le croyais colombien vu son tricot amarillo mais il s’agissait d’un équatorien. Le doute était permis. Le seul représentant de son pays dans la course. L’accompagnement a des limites et après tout l’Amérique du Sud ne gagne pas chaque année, à tous les sports. Il a fini plus de 15 minutes derrière.
    Avec Christian et Gilles sur les talons jusqu’au bout je me suis résolu à prendre au 40ème quelques gorgées de Gatorade dégueu pour me rassurer dans le final et ainsi démarrer d’assez loin pour ne pas les laisser revenir. Je suis très satisfait d’avoir pu rester sous les 4h cette année encore. C’était inespéré après l’enchainement de toutes les activités proposées ce week-end. Mercis et bravos à mes compagnons de route.
    Et ce n’est pas fini. J’avais prévu après course de profiter d’un bain de mer, accélérateur de la récupération mais l’option massage à quatre mains a été plus tentante. La baignade a été reportée au lendemain matin. Nous étions alors tous heureux d’être là, sans chair de poulpes.
    Encore un super week-end de retrouvailles cet automne d’anciens et de nouveaux de l’Asphalte et de partage de bons moments. J’ai entendu que la prochaine édition du marathon d’automne sera exceptionnelle. Impatient d’en être.
    Pour ceux et celles qui passeront à San-Sebastian quelques références d’hôtels et de restos testés et appréciés : Casual de los olas, http://www.ubarrechena.es, Maiatza brunch & cake.

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