Pendant que des Asphaltiens avaient choisi d’affronter la côte de Baltard, un petit groupe
d’Asphaltiens a décidé de se fritter à une course mythique dans l’ouest Parisien : Paris Versailles et sa
célèbre Côte des Gardes.
De bon matin pour trouver une place à Versailles, nous sommes partis à trois du Tremblay à l’aide
d’un covoiturage proposé par Gilles. Nathalie M. a eu la chance grâce à Stephanie Marius qui s’est
désistée de nous accompagner pour cette épreuve.
Arrivée à Versailles, la ligne de départ ne se trouve pas loin du Pont d’Alma ; un petit tour en Rer
s’impose mais nous sommes loin d’être les seuls à se diriger pour ce Rdv n’ayant pas eu lieu depuis 2
éditions.
La Tour Eiffel nous indique le point de départ de la course qui aura lieu, malgré les prévisions
pessimistes durant la dernière semaine, sous un beau soleil frais mais agréable pour courir sous des
conditions optimales. ��
Pour partir au plus tôt, il est nécessaire de faire la queue pendant 1h avant de pouvoir prendre le
départ. Du coup pas d’échauffement, il faudra partir prudemment avant d’atteindre la grande
difficulté sans se claquer bêtement.
Après le départ et avant d’attaquer la première difficulté, j’ai pu croiser Laurent Hamard (régionale de
l’étape) qui y participe également comme Jean Francois Auclair.
Faisant suite au 1 er ravitaillement au tiers de la course, LA Voilà nous surprenant dans un virage : La
Cote des Gardes et ces 7% de dénivelé de moyenne pendant 2 km. Il s’agit d’une colline pour un
traileur mais un col de montagne pour un coureur sur route comme moi. ��
Nous sommes bien contents lorsqu’on arrive après ces 2 km de montée pour respirer dans forêt de
Meudon.
Après descente et relances sur des petits faux plat montants, nous arrivons sur la dernière difficulté
qui peut surprendre ceux qui ont beaucoup donné sur la première côte : La « petite » Cote du
Cimetière au 14km.
Après cela, il s’agit d’une première délivrance avant la ligne d’arrivée qui est une longue ligne droite
vers le Château.
Pour cette année, Le record (46’06’’) n’a pas été battu comme à Berlin par un dénommé Eliud
Kipchoge mais le vainqueur Homme Versaillais n’aura pas à faire 9115 km pour arriver chez lui.
Finalement, nous avons beaucoup apprécié à participer à cette nouvelle édition de Paris Versailles et
pouvons la cocher sur notre « To do list de course à faire « (sauf pour Gilles qui participait pour la
4eme fois encore une fois « Sous le soleil » ��).
Merci en tout cas à Gilles pour le co voiturage
Thierry Berthélémy : 1h 12 42’
François Auclair : 1h21 20’
Laurent Hamard : 1h26 27’
Gilles Henry 1h28 09’
Nathalie Morel : 1h32 55’