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Marathon de Porto – 2025

Par Behl R.M.

Pas de record personnel, mais une victoire pour moi-même !

Inscrite depuis un an, j’avais le temps pour me préparer à courir ce marathon !

Quand les gens me demandaient : « Quel marathon ? », je répondais fièrement : « Le marathon de Porto ! »

Toujours la même réaction : « Oh là là, Porto… ça monte, et il y a des pavés ! » 😅

Je ne les ai pas crus.

Le temps est passé, je me suis blessée avec l’impossibilité de m’entraîner…

Puis J-30, j’ai recommencé doucement à courir : pas d’entraînement spécifique 🏃‍♀️ ni de côte au programme !

6h30 : départ de l’hôtel avec Alex, Elisa, Sandrine et Thierry. On a retrouvé Didier à la consigne pour une photo de groupe 📸

Ce moment d’amusement a été de courte durée : chacun a pris sa place pour le départ. Comme d’habitude, on a perdu de vue Alex, Didier et Thierry…

Les premiers 10 km se sont déroulés autour de la place Queimódromo, dans la ville de Matosinhos.

Ensuite, on longe le quai de la Ribeira, au bord du Douro. Le vent de face était bien présent jusqu’au 28e km, et ça piquait !

Puis vient la fameuse côte menant au pied du pont Dom Luís I, construit entre 1881 et 1886, qui relie les villes de Porto et Vila Nova de Gaia, séparées par le Douro — un véritable symbole de Porto. 🌉

Je continue de courir avec l’incertitude de finir, mais une seule chose en tête : faire confiance à mon mental. 💪

On ne m’a pas menti… Porto est fidèle à sa réputation : des pavés, des côtes, et du vent de face 💨

Ce marathon m’a mise à l’épreuve… mais je peux vous le dire : JE L’AI FAIT !

Pas de record personnel cette fois, mais toujours avec ma corde à sauter à l’arrivée ! 😄

J’ai beaucoup aimé ce marathon : il a du caractère !

Le marathon de Porto restera un excellent souvenir, un séjour sportif plein de partage.

Même si la météo m’a fait douter au début, tout s’est finalement bien passé ! ☀️

Un grand merci à Célio et Patrick, notre logistique et nos super supporters 👏👍

Et à toi, Élisabeth, championne dans tous les domaines 🏃‍♀️👍

Organisation au top, négociation au top… Obrigada para ti ! 🇵🇹

Merci également à vous tous pour vos messages d’encouragement 😘


Par Thierry B.

Marathon de Porto : Un marathon fait de pavés et de côtes😥 mais pas que cela ! 😀💙

Prologue : L’Asphalte 94 en Lusitanie

Il m’aurait été facile de surfer sur l’actualité avec la sortie du dernier album d’Astérix mais ce serait rapidement résumé le week-end que nous avons passé à Porto avec un petit groupe d’Asphaltiens (Elisa et son mari Celio , Alexandra, Sandrine C. (et son fils venu de Madrid Noah) , Bella et Patrick et pour finir Didier L.G.) au Portugal. Ce week-end a été longuement préparé depuis près d’un an avec dans l’organisation comme à Valence l’année dernière par Elisa qui a fait les recherches pour l’hôtel et l’avion. Nous avons décidé de partir pour Elisa Alex, Celio et moi pour 5 jours en espérant que le soleil serait au RDV ce week-end (spoiler alerte : ce ne sera pas tout à fait le cas😜).

Départ tôt vendredi matin vers la ville d’Henri le Navigateur pour un marathon et quelques surprises…

Chapitre 1 Marathon pluvieux marathon heureux ? Premier aperçu de la ville aux Ponts d’Acier

Arrivée à l’Aéroport de Porto Francisco Sa Carneiro première surprise (ou presque) nous arrivons sous la pluie surprise car nous sommes en peu naïf de croire que dans le sud il fait toujours une météo clémente mais nous avons omis que Porto est une ville typique des villes avec un climat océanique.

Sans nous le cacher nous étions un peu refroidis c’est le cas de le dire et chacun sortait les vêtements de pluie que nous avions à disposition dans nos valises.

Après avoir déposé nos valises à l’hôtel, nous avons pris la direction de la recherche du lieu pour retirer les dossards situés en contre bas de la ville historique de la ville. En voiture, nous avons compris les avertissements des personnes nous disant que Porto ce n’est pas plat. Effectivement c’est loin d’être une ville avec les mêmes caractéristiques que Valence.

Le début des doutes commence.😨

Nous rentrons dans le HALL du Palais des congrès Alfandega de Porto et suivons les flèches de l’organisation nous menant au retrait du dossard ensuite passer par les différents stands pour nous vendre de nouveaux articles pour notre prochain marathon. Cela tombe bien il y a des stands pour le Marathon de Séville ou de Punta Cana : les choses sont bien faites 🤣.

Nous croisons une connaissance de Daniel Cossec, Christian spécialiste des courses avec Joëlettes, qui tient le stand pour le 20 km de Paris. On essaie avec lui son avis sur le parcours mais nous ne sommes pas convaincus. Au passage Sandrine prend note pour le 20 km de l’année 2026 et Elisa négociatrice de premier ordre nous obtient des dossards de cette année (T-shirt au top). Finalement on ressort avec des doutes mais 2 T SHIRT au lieu d’un. 😁

Cependant nos doutes sont vites oubliés car rien de mieux pour les alléger c’est manger et on mange bien au Portugal : Bacchalau, Frango et Pastel de Nata vont être au menu du ravitaillement d’avant et d’après course avec bien sur les inévitables plat de pâtes. Nous n’aurons pas de soucis de ce côté-là ; on ne mourra pas de faim.

Entre 2 averses, une petite visite de la ville historique de la ville conclue notre journée ou nous pouvons découvrir Le Pont Luis 1er une des œuvres de Théophile Seyrig qui avait travaillé avec Gustave Eiffel sur le Pont Maria Pia à la fin du 19e siècle.

Nos smartphones nous annoncent une météo plus clémente nous gardons cette petite bonne nouvelle et attendons demain pour découvrir le lieu de nos prochains exploits sportifs dimanche.

Chapitre 2 Découverte de la ville d’Aveiro petite venise du Portugal 

Avant de débuter, nous profitons qu’il n’y ait pas de pluie pour faire un footing léger avec Alex, Elisa et Sandrine histoire de nous débloquer et voir si tout va bien en cette veille de marathon. On décide en même temps de faire honneur au 20 km de Paris pour mettre les beaux maillots remis par Christian.

Notre footing reste dans le thème de Porto des Côtes mais on se rend compte également que la ville à garder beaucoup de rues avec des pavés pas idéal pour courir surtout pour un footing léger.

Retour à l’hôtel, Elisa et Celio nous avaient proposé de découvrir avec la voiture louée la ville d’Aveiro. Nous partons donc après le petit déjeuner (bien copieux) vers cette ville avec des canaux comme à Venise : Aveiro.

Après 1h30 de route vers le sud, nous arrivons sous le soleil (Youpi 😁💕) à Aveiro et découvrons ces canaux et embarcations colorées (appelées Barcos Moliceiros). Nous prenons le temps de faire un tour à terre et de manger (très important 😁) avant d’embarquer dans l’après-midi sur l’une d’entre elles. La guide qui parle très bien français nous résume l’histoire de la ville (ville anciennement productrice de sel mais le congélateur a eu raison de son industrie) en découvrant les maisons art nouveau encore entretenues pour donner à cette ville encore son cachet 

Avant de retourner sur Porto, nous terminons la visite de la ville pour découvrir les villes peintes comme les bateaux faisant penser au Cabine de plage à Cayeux sur Mer.

Retour à Porto, il faut trouver un restaurant pouvant restaurer les réserves de glucides pour demain car demain c’est le marathon raison pour laquelle nous sommes tous réunis dans la capitale de la Vallée du Douro.

Chapitre 3 Un marathon plein de surprises

Nuit Blanche ! Pour ma part le réveil se fait un peu dans le brouillard comme Porto car je n’ai pas bien dormi. Il faudra pour la course bien gérer les allures sinon le mur je vais bien le voir passer 🫠.

Nous prenons le départ comme conseillé par l’organisation par le métro de Porto pour aller au départ et nous sommes loin d’être les seuls. Les wagons sont vites remplis par de nouvelles vagues allant au départ afin de rejoindre Didier qui a logé un peu plus loin de notre hôtel et qui est déjà près des consignes quand on arrive à la station.

L’intuition me dit qu’il ne faudra pas tarder et l’avenir me donnera raison car le départ est un peu chaotique entre le 10 km et le 6 km qui partent quasi en même temps cela fait du monde sur le pont et trouver son SAS est un peu compliqué.

Avec Didier, nous arrivons à ce dernier 10 mn avant et Alex arrive 5 mn après. Le temps de lever les bras pour les drones nous prenant en vidéo et écouter le speaker parler dans 4 langues différentes (Portugais, Espagnol, Anglais et Français). Les futurs marathoniens peuvent être lâchés !

Ca y est ! C’est parti et on part sur des … Pavés et une côte d’où le titre de mon article. On va avoir plusieurs passages plus ou moins long mais réguliers qui vont montrer que ce marathon demande un peu d’entrainement.

La chose sympa en plus de pouvoir croiser plusieurs fois nos supporters (comme Patrick, Celio ou Noah) c’est également de croiser les coureurs vu que le parcours fait des petites boucles une bonne occasion de nous encourager afin de donner un petit coup de boost.

Après avoir fait de nombreuses relances dans les quartiers les moins glamours de Porto retour sur la ligne de départ où un grand nombre de spectateurs est rassemblé pour attaquer la 2e partie de course celle qui va nous mener à passer les 5 ponts traversant le Douro…et passer des pavés et des côtes.

Pour les Asphaltiens l’un des passages le plus dur fut l’arrivée vers la partie historique de la ville côté quais où l’enchainement pavés, côtes, descentes sur des pavés, et nouvelles côtes : on peut surnommer cette partie le cross de Porto. Heureusement une très bonne ambiance est présente sur tout le long du parcours : une bonne raison de garder le sourire en plus des photographes présents à chaque kilomètre.

Cependant, la course commence vraiment au 30e kilomètre après avoir opéré un demi-tour pour revenir vers l’arrivée : on sait ce qui nous attend et cela ne va pas être facile.

Les derniers encouragements des Asphaltiens qu’on aperçoit nous aident à tenir et maintenant il faut tenir la distance. La musique du film de Rocky qui passe dans le tunnel menant à la partie historique nous redonne de nouveau de l’énergie. Dans un marathon on se raccroche à tous ce qu’on peut les encouragements des bénévoles présents, on repense aux nombres d’heures à passer pour s’entrainer pour ce moment surtout quand les muscles commencent à se raidir.

Les 2 derniers kilomètres seront bien dans la tête pour moi ; mon allure diminue mais n’est pas catastrophique. Je ne serai pas dans l’objectif mais finalement vu ma forme du matin je suis content car je sais que je le terminerai. Les dernières lignes droites (et de côtes et de pavés) arrivent et me voilà de nouveau Finisher d’un 7e marathon.

Didier, qui a fait une très belle course sur ce parcours très exigeant, a fait un beau temps presque le même qu’à Valence avec un parcours plus difficile. Bravo à lui.

Alexandra arrive toute souriante comme à son habitude contente de son marathon elle a tenu son allure malgré sa blessure et a même eu le temps de faire son film et diapo de vacances pendant la course.

Elisa a de nouveau fait parler la poudre elle ne bat son record de 1 mn de 2 mn mais de 5 mn par rapport à Valence. Sur un parcours pas facile, chapeau bas l’air du Portugal lui a donné des ailes (mais surtout un entrainement et une bonne stratégie de course).

Sandrine bat également son record sur son 2e marathon haut la main de plus de 15 mn ; malgré qu’elle soit un peu déçue car elle voulait accrocher les 3 h45 elle est en dessous des 4h et c’est déjà un super temps.

Bhel malgré des gros doutes au départ, a terminé de nouveau un marathon…en sautant à la corde à l’arrivée. Pas mal pour quelqu’un qui a une préparation marathon tronquée par de nombreuses blessures.

En tout cas, nous récupérons les goodies des finishers, très belle médaille et T SHIRT DE FINISHER qui se fait rare.

On finit par se retrouver tous au milieu du village de course, pour moi un peu KO car j’ai cru qu’on faisait un marathon festif, en prenant une bière : un marathon festif demande de l’entrainement. 🤣

Nous repartons tant bien que mal à l’hôtel pour profiter de l’après-midi pour nous reposer pour certains et d’autres de prendre une glace bien méritée.

Le soir, nous nous retrouvons à part Didier au Bar pour profiter du verre du Porto offert par l’hôtel avant de partir nous restaurer (je vous l’avais dit que manger est important 😁).

Chapitre 4 Lendemain du marathon : récupération sous le soleil

Finalement il fait beau à Porto ! La ville en 2 jours s’est transformé passant d’une ville grise et humide en une ville colorée et avec une folle envie de l’explorer.

Pour certains du groupe la journée du lundi est le dernier jour avant de prendre l’avions dans l’après-midi et verrons peu le visage qu’offre Porto lorsque le soleil lui donne quelques rayons.

Pour résumer la journée rien de mieux que les photos ci-dessous de la balade faite dans les rues historiques de la ville.

Ah et je vous avais dit que c’est important de manger 😋.

Epilogue : Tout beau marathon a une fin 🥲

Dernier jour à Porto, c’est un peu le jour de la nostalgie des derniers jours et surtout du marathon (tu te rappelles ce moment-là dans la course et toi celui-ci etc..). C’est également le jour du tu as mal où (aux cuisses aux mollets aux genoux et la tête…alouette 😁).

Nous effectuons une dernière balade dans la ville et de faire quelques emplettes..de pasteis de nata (car manger c’est important ! Vous le saviez ?) avant de prendre notre vol vers Paris en nous posant cette question… le prochain marathon ce sera lequel ?

Par Elisa O.

Marathon de Porto : pluie, montée, pavés, fous rires, records = week-end inoubliable dans une jolie ville !


Un week-end pas comme les autres avec la team du club : Alexandra, Elisa, Sandrine, Thierry, Didier, Bhel et les 2 accompagnants motivés (Célio et Patrick) 💪
Objectif : courir, profiter, rire… et esquiver la pluie 😅.

Didier L à Porto depuis mercredi en week-end amoureux, nous met le goût à la bouche avec quelques photos 😏
Sandrine arrive jeudi, sous un ciel gris mais doux. Elle visite et profite pour découvrir la ville à sa guise.
Le reste de la bande atterrit vendredi matin sous le déluge digne de Noé🌧️
Le baptême portugais (à l’eau).

Arrivée à 8h30, récupération de la voiture de location (4 places… pour 6 😅).
Bhel et Patrick mission “équipe métro”, pendant que nous on file à l’hôtel.
Mais les chambres ne sont prêtes qu’à 15h !
Alors, courageusement, on va chercher les dossards. On se donne rdv là-bas.
Bhel et Patrick partent à pied, sans parapluie ni k-way : 30 minutes sous la pluie battante 💦.
Résultat : trempés jusqu’aux os !
Incapable de joindre la famille Rolland au téléphone, et pour cause Patrick qui découvre qu’il a bloqué ses appels à l’étranger → Hotline Orange en direct du Portugal par Elisa📞😂
On réussit à se retrouver. Un peu de tension avec ce mauvais temps. Tout le monde était fatigué et avait froid. Les dossards récupérés dans un état semi-liquide, direction au Mercado, un marché couvert pour sécher ou du moins essayer. Heureusement, un petit restaurant a redonné le moral à la troupe (et de la chaleur à leurs âmes et leurs chaussettes).

Dégustation de plats typiques.

Chacun récupère sa chambre puis on part faire une balade vers les caves de Porto et ses ponts mythiques.

Rdv le soir pour diner et aller se reposer car la journée a été longue pour certains.

Dégustation de plats typiques portugais de morue, histoire de tester le vrai goût local.  

Samedi – Un peu de soleil qui vient réchauffer nos cœurs. Porto n’est pas pareil sous le soleil. Petit footing histoire de se mettre en jambes pour le lendemain.

Sandrine, récupère son fils. Et oui elle a eu droit à son fan club VIP qui est venu spécialement de Madrid rien que pour la voir courir.

Arrivé samedi, ils ont passé la journée ensemble et avons diner tous ensemble. Il l’a encouragée comme un pro le dimanche matin. Une vraie team mère-fils, elle court, il motive (et probablement mange un pastel de nata pendant qu’elle souffre sur les pavés) 😂.

Il est reparti le soir même, fier de sa maman et avec quelques calories de solidarité en plus !

Bhel et Patrick partent à la découverte de la ville en amoureux.


Quant à nous, petite virée à Aveiro avec Alexandra, Célio, Thierry et moi : visite de la petite Venise portugaise. Déjeuner typique dans un petit restaurant. Petite balade en barque avec un guide français. Des petites anecdotes (Alexandra et Thierry vont raconteront : L’histoire des beijinhos porte-bonheur sous les ponts du Portugal 😂) barques colorées, maisons rayées.
Une petite glace avant de reprendre la route vers Porto…

Retour à Porto pour diner avec le reste du groupe nos pizzas/pâtes et un bon dodo à 21h.

🏁 Dimanche – Le grand jour !

Rdv à la réception de l’accueil à 6h30 pour aller prendre le métro en direction du Départ (30 mm). On croise beaucoup de coureurs. Ambiance tendue mais souriante.

On retrouve enfin Didier juste à temps pour la photo de groupe et oui c’est le seul qui n’a pas logé au même endroit que nous.
15 000 participants, ça fait du monde sur le bitume. Tout le monde se dirige dans les sas respectifs.
Je pars dans le sas 3h45 avec Sandrine et Bella. Tempo parfait pas le temps de stresser.

Top départ : ça déroule tranquille enfin presque, car Porto ce n’est pas tout plat comme cela nous l’avait été vendu et je crois que je n’ai jamais vu autant de pavés sur un marathon.

Je reste avec Sandrine jusqu’au 3e Km environ et on décide que chacune fasse sa course à sa façon. Je m’élance tranquillement, en me disant Elisa respecte tes allures. Forcément si ça monte, ça descend aussi. J’essaie de rester concentrée et régulière. Quelques échanges avec certains coureurs.
Vers le 18ème km le vent s’invite le long du Douro, ma casquette s’envole héroïquement (sauvée par un chevalier portugais), des pavés casse-pattes étaient au rdv.

Sur le parcours, on arrivait souvent à se croiser, ce qui permettait de s’encourager mutuellement.

Au 32e, encore des pavés et un petit tunnel de folie avec la musique de Rocky. J’étais bien, pas de crampes, pas de mur, je me disais pourvu que ça dure. Je reste prudente mais au 35ème mon gel me glisse des mains, je me baisse pour le ramasser et là une menace de crampes aux ischios, je bois beaucoup d’eau, je mets dans ma bulle et je serre les dents.     Pas le moment de lâcher 💪.

Je discute avec un gars qui habite Chennevières, qui me demandait des infos sur mon club. Peut-être un recrutement à venir qui sait ! Un certain Damien on verra bien.

Les 5 derniers kms : Allez Elisa, 12,5 tours de piste à tenir, tu connais ça.

Chaque montée, un supplice
Chaque descente, un soulagement

Les 2 derniers kms : Full mental. Encore 5 tours de piste

Arrivée interminable en 3H37’45, avec 500 mètres de plus sur la distance.

Histoire de mériter encore plus la médaille. J’ai été classée en M3F alors que je suis passée M4F.

Mon 1er marathon sans souffrance, que du plaisir. Je ne pensais pas dire ça un jour !

Record battu au Portugal et sur un terrain pas facile= Quelle fierté !


Résultats de la team :
Didier – 3h09’09
Thierry – 3h11’31
Alexandra – 3h24 (qualif Boston 🎯)
Elisa – 3h37’45 (RP & qualif Boston 🎯)
Sandrine – 3h53’50 (RP 👏)

Bella – 4h29 (qualif Boston)


🍷 Dimanche après-midi – Après l’effort, le réconfort :
Célio, Elisa et Alexandra sortent manger une soupe, faire un peu de shopping,avant un débriefing panoramique au 17e étage de l’hôtel avec un verre de Porto🍷. Puis soirée pizza/pâtes pour finir en beauté 🍕

🌞 Lundi – Soleil, au revoir et émotions
Enfin le grand soleil sur Porto !
Patrick, Bella, Alexandra et Thierry profitent d’un quartier libre en ville ☀️
Sandrine repart en début d’après-midi et Didier repart en fin de journée, sa moitié étant rentrée la veille.                                                                                                 
Et pour Elisa, direction la famille pour fêter l’anniversaire de la belle-mère, avec un petit passage au cimetière pour un tendre coucou à mon beau-frère et à mon papa 💐
Un moment simple, plein de cœur, pour clôturer un week-end intense et émouvant. Retour en soirée à porto pour diner avec la team.

Mardi – dernière escale : mission souvenirs

Encore un peu de soleil, quartier libre pour flâner dans porto, ramener quelques souvenirs et surtout faire le plein de Pasteis de nata (et non, toujours pas des flans ! 😅)

Les valises plus lourdes, mais le cœur léger❤️ et des calories bien méritées.

Au moment de quitter Porto, la pluie semblait faire son grand retour comme pour nous dire Ciao à sa manière.

Pas de regret de partir. On a eu notre dose d’eau bénite portugaise.

L’équipe rentre fière, fatiguée et déjà en train de se demander : Bon on le fait où le prochain marathon ?

Un immense merci à mon Célio pour nos photos sur le parcours ainsi qu’à Patrick bien entendu.

Supporter infatigable et toujours de bons conseils au niveau restaurations, n’est-ce pas Thierry ? 😋

Et dire qu’il n’était pas seul ! Jamais vu autant d’appareils photo sur un marathon : chaque foulée, chaque pavé, chaque grimace a été immortalisée.

Et bien sûr, merci à mon coach pour les bons conseils, même ceux que j’ai suivis à moitié 😂

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