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Courses charentonnaises

A quelques jours de notre premier grand rendez-vous sur la route la Fédération Française d’Athlétisme a mis en ligne sur son site une rétrospective des plus intéressantes concernant l’historique des courses charentonnaises.

Les plus anciens d’entre nous y  reconnaitrons sur les photos des visages quelques peu oubliés et sur les résultats des noms qui ont fait les beaux jours du Saint Maur Athlétique Club et de l’Asphalte 94 qui en est en quelque sorte la descendance.

Dommage que quelques petits manques de précisions bien pardonnables ne permettent pas de faire briller davantage notre club actuel et celui dont sont issus ses créateurs.

Par exemple Didier Goffinet et Aurélia Truel ne sont pas les seuls à avoir réalisé un triplé historique car il faut y ajouter Christophe Darbonnens, Asphalte 94 (1995, 1998, 1999).

Christine Vidal qui a remporté l’édition 1996 était Asphaltienne.

Aurélia Truel était certes licenciée à Créteil en 2003 pour sa première victoire mais à l’Asphalte 94 en 2004 et 2005 pour les deux suivantes.

On peut également trouver dans cette rétrospective les résultats d’Elisabeth Legalles (Babette pour les intimes) qui a remporté la première édition des foulées et d’Annie Dugué vainqueur en 1989, toutes deux étaient licenciées au SMAC.

Depuis une dizaine d’année notre club n’est plus en mesure de s’illustrer comme autrefois. Ce n’est pas pour cela qu’il faut oublier le passé et ses enviables résultats. Pour les plus anciens du club, ceux qui étaient présents en 1992, cet article sera, j’en suis sûr, un bain de Jouvence. Pour les plus jeunes il est toujours bon de connaitre le passé pour préparer l’avenir.

Cet article aura surtout eu l’immense mérite de mettre ou remettre en lumière une figure de l’athlétisme charentonnais et val de marnais. En janvier 2014, au cours du premier footing de l’année qu’il animait dans le bois de Vincennes, Marc Anfreville, président, entraîneur, animateur, organisateur… âme et emblème de l’AOC Charenton s’écroulait victime d’une rupture d’anévrisme. Il n’avait même pas 60 ans ! Il a brutalement laissé un grande vide que l’équipe actuelle s’efforce de combler avec brio. La tâche est en grande partie réussie, l’aura de l’épreuve n’a pas souffert et l’esprit de Marc flotte toujours sur la course.

Le lien :

Les courses Charentonnaises

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