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Marathon et autres aventures

Les résultats de ceux que nous avons retrouvés :

Romain Herbillon 4814ème En 3h25’13’’ Jean-Jacques Dongay 14645ème En 3h55’24’’
Fabrice Tartaglia 8083ème En 3h36’52’’ Jean-Christophe Bonilla 25731ème En 4h24’57’’
Benoît Etié 8443ème En 3h38’06’’ Jean-Michel Corty 26565ème En 4h27’25’’
Nicolas Mercouroff 14162ème En 3h54’15’’ Fati Saland 32082ème En 4h47’36’’

Ceux que nous oublions se feront connaître.

Ces pages sont ouvertes afin que vous puissiez y laisser vos impressions. Faites vite, vous avez été bénis par le temps, peut-être eu un peu chaud à l’arrivée. Parcours extraordinaire, Public généreux…

Félicitation à ceux qui terminent leur premier Marathon : Fati, Nicolas, Jean-Christophe…

Désillusion pour Carl Allain : « Malheureusement, j’ai été contraint d’abandonner, claquage derrière la cuisse et douleur insoutenable au genou. J’ai essayé de poursuivre, mais j’ai dû arrêter au 35ème. Dommage, un peu déçu car je l’avais dans les jambes ».

Nostalgie pour notre JJ.:

Bonsoir à tous,

Je tenais à vous adresser ce petit mot pour faire suite à ma visite à Paris pour le marathon.

Merci à tous, cela m’a fait chaud au coeur de vous voir 2 minutes pendant le parcours. Quel bonheur. Comme je disais ce matin à Alain, ne changez rien. Quel club. Quel bonheur et plaisir de retrouver une ambiance inimitable et qui fait toute la particularité de cette association.

Bonheur de se retrouver, de partager, et de s’amuser autour d’une activité commune 

Faisant parti d’un autre club, je suis vraiment nostalgique de cette ambiance 

Je vous embrasse , je pense souvent à vous .

Au plaisir de vous revoir très bientôt .

 

Marathon et autres aventures

Aux 12h de Rennes, Valérie Vallon, 4ème et 2ème féminine sur 17 athlètes classés : « 10h allure 24h et j’ai géré les 2 heures restantes. J’ai fait 101 km. J’ai marché les 45 dernières minutes. ».

Marathon et autres aventures

Laurent Fontaine était également de l’aventure, sur 24 h pour sa part. 94,89 km à son actif. Ne comparons pas trop les chiffres.

10 Comments

  1. Corty

    Un grand merci à Anne et les copains de l’asphalte qui m’ont encouragé a deux endroits différents.
    C’est super sympa.J’ai couru avec un collègue pour l’association Laurette Fuguain et la course a été compliquée à partir du 26eme.J’ai payé cash un sur régime sur le premier semi (chronomètre out )
    Du coup, mon collègue a fait le coach jusqu’à l’arrivée. 2mn de moins que l’année dernière c-est peu et beaucoup dans ces conditions.Bonne récupération aux marathoniens de l’asphalte
    Jean-Michel

    • benoit Etié

      bravo à tous et surtout sinceres félicitations aux nouveaux marathoniens

      une superbe course dans une ville magnifique sous un soleil radieux
      de la souffrance certes mais beaucoup de bonheur !!!

      merci a Anne et son petit groupe de nous avoir encouragé à Vincennes
      et une pensée amicale pour Carl qui n’a pu terminé.

      a bientôt
      Benoit

  2. Nicolas Kwong-Coeong

    Félicitations à tous les finishers de ce marathon et notamment à tous ceux pour qui c’était une première. Bienvenue dans la famille des marathoniens. J’aurais dû et voulu être parmi vous. Malheureusement un de mes genoux n’a pas passé l’épreuve des régionaux de cross. Bonne récup à tous.
    Nico

  3. Romain

    Un truc de fou ! C’est la première fois que je réussis une si belle course, je suis allé au bout de moi-même. Peut-être est-ce la cause des enfants pour Imagine for Margo qui m’a transporté, mais quand même à la fin ça fait mal.
    Un grand merci à tous ceux du club que j’ai embêté par mes questions et demandes incessantes de conseils mais grâce à vous j’ai fait une performance inoubliable.
    Un mot particulier pour Hervé Bihoué qui m’a proposé son aide, il m’a accompagné du 15ème au 35ème kilomètre. Il m’a retenu quand il fallait et m’a mis le bon coup de pied au c.. à la fin pour aller chercher ce temps de dingue. Sans oublier Thierry, mon mentor qui m’a conseillé jusqu’à la veille de la course pour faire un bon gros dodo avant le grand jour.
    MERCIIIIIIIIII
    Pensée pour mes deux collègues lors de la prépa, Benoît qui m’a servi de repère et qui n’était pas dans son meilleur jour et Carl qui a dû abandonner malgré ses dernières performances incroyables. Il faut vraiment que tout soit réuni le jour J pour réussir un marathon !
    A très bientôt sur la piste le dimanche (enfin pas tout de suite 😉
    Romain

  4. Daniel

    Le fait que 50 000 personnes s’inscrivent à une épreuve a tendance à banaliser la difficulté or il n’en est rien ! Courir plus de 42 km au maximum de ses possibilités reste une épreuve difficile et aléatoire, certains des nouveaux marathoniens s’en sont certainement rendu compte dimanche matin. Tellement de facteurs peuvent intervenir dans la réussite du résultat. En général au 35ème on se dit ‘plus jamais ça’ et dès le lendemain, quel qu’est été le résultat, on épluche le calendrier des courses en se demandant quel sera le nouveau défi !
    Un grand bravo à ceux qui sont allés au bout de l’épreuve dans la douleur, une pensée à ceux qui ont du abandonner sur blessure. Récupérez bien, dans l’immédiat c’est le plus important.

  5. Jean-Christophe Bonilla

    Bravo à tous;
    Très heureux d’avoir participé à mon premier marathon.
    Une ambiance incroyable, un temps parfait et un parcours pas aussi plat que ça!
    Les quais de seine ont failli être fatal pour moi, j’ai perdu le rythme, mais même si j’ai pu avoir des doutes en repensant que j’aurais du faire plus de sorties longues, la cause qui me touche ma porté et ma permis d’être finisher.
    Merci pour tout les conseils que vous avez pu me donner.
    Merci à mon fils Philippe.

  6. Pallandre

    Valérie ! superbe succès une fois de plus mais n’oublie pas de te reposer entre deux courses, en allant par exemple faire du vélo ou de la natation. Tu sais cela mieux que moi. Bises. Christian

  7. Nicolas MERCOUROFF

    Bonjour à tous. Je viens de mettre en ligne un compte-rendu détaillé de mon premier marathon sur mon blog (désolé, c’est trop long pour pour le blog de l’Asphalte). En voici le début. Si cela vous intéresse, je vous encourage à vous connecter sur mon blog (http://running-blog.xyz), où vous vivrez le récit (haletant ?) de mes 42 kilomètres (et les 195 mètres suivants…)

    « Si tu veux courir, cours un kilomètre. Si tu veux changer ta vie, cours un marathon » — Emil Zatopek

    Comme le dit le grand Zatopek, le marathon est une épreuve unique, une expérience inoubliable; on ne court qu’une seule fois son premier marathon !

    Dimanche 12 Avril

    Réveil à 6h30, histoire d’avoir tout le temps pour me préparer, prendre mon petit déjeuner, et me rendre Avenue Foch.

    Mon dernier repas avant la course est une espèce de mixture « à base de fruits rouges » (celle « au chocolat » était encore plus immangeable) : un gâteau qui se prépare… au micro-onde ! avec une telle recette, ça ne peut qu’être un sommet culinaire. En même temps, le but n’est pas de me régaler mais de me caler avec une substance qui me délivrera de l’énergie pendant les 6 heures à venir !

    7h15

    Direction le champs de bataille: Place de l’Etoile. Le métro commence déjà à être rempli de marathoniens. Facile à reconnaitre: ils ont des chaussures de course, souvent un dossard sur le ventre; le regard au loin… et de toute façon, il n’y a personne d’autre dans le métro un dimanche à cette heure-ci !

    7h45

    Arrivée Place Dauphine. On emballe tout ce qui ne servira pas pendant la course dans un sac, et on le confie à la consigne.

    Une fois ceci terminé (ça prend 5’, surtout à cette heure-ci), il reste à… attendre. Attendre en buvant de l’eau bien sûr (et un peu de café, pour les inconscients comme moi), car il faut s’hy-dra-ter ! Une mini-bouteille, une autre, ça passe le temps.

    Une chose me frappe quand je regarde les autres coureurs (de toute façon il n’y a que ça à regarder) : ils sont tous comme moi, à passer le temps. Beaucoup boivent (de l’eau !) comme moi, prennent des selfies, certains s’oignent de gels improbables (baume du tigre ou élixir de l’abbé Longrun), mais c’est finalement le sentiment de veillée d’arme qui est le plus prégnant.

    Et même plus que de veillée d’arme: nous sommes tous (54 000 !) comme des parachutistes dans le transall, attendant le largage. Nous savons bien que, bien que tous bien vivant et au top de notre forme (ou presque), tous ne rentreront pas de la mission, et que même ceux qui rentreront seront probablement sévèrement atteints physiquement. Un sentiment étrange dans le regard échangé : « et toi, comment seras-tu dans 5 heures après l’épreuve ? »

    8h45

    Il est temps de se mettre sous les ordres du starter. Ou plutôt, d’aller faire la queue sur les contre-forts des Champs Élysées, pour attendre que le sas des 3h45 ne s’ouvre. Le départ est en principe à 9h15, mais le sas n’ouvre qu’à 9h. Pas de panique, tout le monde partira !

    9h00

    Ça y est, je suis dans le sas. La ligne de départ est en vue… 100 m devant moi (et 5000 coureurs entre moi et cette ligne). Pas de panique, de toute façon, c’est le moment où je franchirai cette ligne qui comptera dans le calcul du temps.

    C’était couru d’avance: à force de m’hy-dra-ter, j’ai la vessie pleine ! Comment courir 42 km avec l’envie de faire pipi ? Im-po-ssible ! Heureusement, dans sa grande expérience, ASO (l’organisateur) a prévu des rangées de toilettes directement dans les sas (donc juste avant la ligne de départ). De quoi se soulager. Ouf ! Ce sera toujours un kilo de moins à transporter…

    Il est temps d’allumer mes gadgets électroniques. Je n’en manque pas: une montre GPS, pour surveiller en permanence ma vitesse instantanée et moyenne ; mon téléphone, dont j’active également le GPS afin de partager en direct ma course (des fois qu’il y ait quelqu’un dans le cyber-espace que cela intéresse); des écouteurs bluetooth pour écouter la musique de mon téléphone pendant que je cours.
    …et justement, surprise ! Mon casque est déchargé, alors que je pensais l’avoir chargé il y a 2 jours. Je l’ai probablement laissé allumé et il s’est vidé. Tant pis, je courrai sans musique. Ou plus exactement: avec la musique des orchestres, qui sonorisent la course tout au long du parcours. Je me retrouve juste avec mes écouteurs inutiles et bringuebalants autour du cou — c’est ballot !

    9h15

    C’est parti ! Du moins, c’est parti pour les coureurs du sas des 3h45 (donc moi) qui sont près de la ligne départ (pas moi). En attendant que le flot des coureurs devant moi ne s’élance, je m’approche peu à peu de la ligne de départ.

    9h25

    La porte du transall s’ouvre, et c’est parti ! Eh oui, c’est parti pour moi !! Croyez moi, ces premiers 100m sont une expérience inoubliable. Non pas que les Champs Elysées soient particulière beaux ou la foule particulièrement joyeuse (ils le sont), mais c’est le moment ou je ressens vraiment que ça y est ! J’en rêvais depuis 6 mois, j’ai couru plus de 100 heures, plus de 1000 km pour me préparer, et ces premiers hectomètres sont la récompense, immense. Les larmes me viennent aux yeux tellement je suis heureux d’être là, au milieu de ces coureurs partageant le même rêve idiot : courir 42,195 km !

    Arriverai-je au bout des 42 kilomètres ? Vous le saurez en lisant la suite sur mon blog…! http://running-blog.xyz/

    -Nicolas

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