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SaintéLyon

 

St Christo en Jarez

Km 15,8

Ste Catherine

Km 28,2

St Genou

Km 41,4

Soucieu en Jarrest

Km 52,3

Chaponost

Km 62,1

Halle Tony Garnier

Km 73,1

 

Pascal Bleuse

1h29’07’’

2h53’29’’

4h39’16’’

5h56’11’’

7h08’10’’

8h29'34''

567ème

Nicolas Laissus

1h46’09’’

3h29’15’’

5h40’08’’

7h08’59’’

8h26’07’’

9h48’08’’

1772ème

Jean-Michel Objois

1h38’57’’

3h12’13’’

5h31’54’’

7h03’57’’

8h27’26’’

9h55’40’’

1973ème

Olivier Bastardie

1h40’12’’

3h26’09’’

5h49’20’’

7h18’42’’

8h39’37’’

10h04’34’’

2191ème

Florian Germond

1h47’51’’

3h39’45’’

6h11’46’’

7h47’34’’

9h05’22’’

10h31’02’’

2708ème

Laurent Fontaine

2h08’49’’

4h50’50’’

8h18’18’’

10h24’48’’

12h33’44’’

15h18’47’’

5730ème

Eric Raphenne

3h13’17’’

6h19’17’’

9h00’19’’

11h25’10’’

13h18’21’’

15h23’51’’

5747ème

Marc Fleureau

1h54’48’’

3h47’45’’

Abandon

 

 

 

 

 

Jean-Paul Schilling

Pas de pointage intermédiaire

Abandon

 

 

 

 

 

Sur la St Express

Latifa Lépine

 

t0

2h02’38’’

3h36’45’’

5h09’54’’

6h49’50’’

2014ème

Christian Lépine

 

t0

2h14’23’’

3h48’26’’

5h21’40’’

7h01’33’’

2157ème

Finishers

Finishers

Versus Eric Raphenne : un trail pour amateurs éclairés

Mettre le clignotant’ n’est pas vraiment le genre de la maison mais l’âge et les performances étant bien présents, j’ai donc décidé que les saisons 2017 et 2018 seront consacrées au retour aux sources aux grandes courses mythiques Françaises dont certaines courues à plusieurs reprises (Nantua-Bourg en Bresse (1992), l’Ardéchois (2005,2006), les gendarmes et les voleurs (2000), les Templiers (1998,1999), l’Aubrac (2002), les Crêtes Vosgiennes 2002,2015 ,la SaintéLyon de (1992,93,94) .

Revenir 23 ans après sur cette 64ème édition de ce must du trail Français fût un véritable révélateur et m’a bien fait bien comprendre que je suis plus prêt de la fin qu’au début. Il est vrai qu’à l’époque la distance n’était que de 64 km avec beaucoup moins de dénivelé, mais de doubler pratiquement le chrono!!!! C’est la vie….

Cette course nature se caractérise par son départ à minuit par vague de 2000 coureurs de Saint-Etienne avec un parcours en ligne traversant les Monts du Forez avant de rejoindre une autre grande métropole régionale : Lyon. Le tracé évolue chaque année faisant la part belle aux portions de chemins aux dénivelés piquant souvent les mollets.

De mes 4 participations, je n’avais connu des conditions climatiques extrêmes : Températures (de – 7 à – 10), manteau neigeux important avec rafales de vent sur les plateaux, quelques congères et surtout beaucoup de passages verglacés notamment dans les nombreuses descentes de forêt. 5 belles gamelles avec à l’arrivée sous la douche la constatation d’une fesse et d’un coude en couleur.

L’arrivée dans  la grande Halle Tony Garnier fût pour moi une belle découverte car à l’époque l’arrivée se faisait en dehors de Lyon (ceci évitait les 5 derniers kilomètres actuels qui sont un véritable parcours de combattants qui après 67 km m’ont été un véritable calvaire….

Très belle organisation et bravo aux nombreux bénévoles, seul bémol, faut-il revenir courir pour avoir la bonne taille du tee-shirt!!!!!

En conclusion, un très bon week-end  avec mes compagnons de jeu avec un retour en voiture dans la foulée et beaucoup de courbatures à l’arrivée, mais très fier de faire partie des finishers dans un chrono de 15h’23’, certes très loin du premier (5h30).

(930 abandons)

Finishers

Finishers

Dixit papy "c'était mieux avant"

Dixit papy "c'était mieux avant"

Versus Jean-Michel: le long serpent de nuit

Le long serpent de nuit de lampes frontales. C’est ce qui différencie une course nocturne d’une diurne.

Les traileurs amateurs de jolis paysages ne peuvent y voir que du noir, mais en fait, l’environnement ne cesse de changer. Sortie de St Etienne péri-urbaine cachée dans la nuit, puis talus neigeux rendus flamboyants sous l’éclairage des frontales à LED super puissantes. Sous-bois fantomatiques, puis quant à la sortie d’un bosquet, on a le loisir de se retourner, on voit le long serpent de nuits s’étaler sur des kilomètres. On sait que l’on est bien accompagné, que l’on danse un bal dans une multitude. (Les fourmis qui vont d’un point A à un point B à la queue leu leu font la SaintéLyon).

Peu après Ste Catherine, on fait la bascule, et les lumières de Lyon apparaissent. Elles reviennent de temps à autre au hasard d’un virage bien orienté.

Puis l’aube point. Je suis en plaine, la nuit a été claire, l’horizon se colore en orange.

Le jour me fera t’il oublier les crampes qui me serrent les jambes ? L’arrivée est encore loin.

Loin : au ravitaillement du 52ème, deux filles avec un objectif « breaking 10 » parlent : « 20km, 3 heures », ça va ?

Le cerveau à moitié congestionné, je hausse les épaules au fond de moi-même. Mais je continue à maintenir l’effort, courir autant que possible quand le terrain le permet.

Chaponost, plus que 10km. 1h45 pour le « breaking 10 ». Comme dans du beurre ! Mais je continue à maintenir l’effort, courir autant que possible quand le terrain le permet.

Pancartes : plus que 4km, plus que 3km, plus que 2km, plus que 1km. 17 minutes pour le « breaking 10 ». Comme dans du beurre. Mais je continue à maintenir l’effort, courir autant que possible quand le terrain le permet.

Résultat : breaking 10 à 4 minutes.

Et finisher.

Finishers

Finishers

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