Marathon de Paris cuvée 2012

13 Comments

1. 

   christian pallandre

   16 avril 2012 at 6 h 27 min

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   Il y a eu les semaines de tâcheron pour l’entraînement, la semaine de crainte avant le marathon, la nuit mal ensommeillée précédant la course et ensuite l’espoir, le jour de l’épreuve (joli
   nom pour la chose).

   Albert Camus disait qu’il n’avait jamais vu de si beau chez l’homme que sur un terrain de sport amateur, je me cache dans son dos pour le repéter.

   Amitiés

   Christian Pallandre

    

2. 

   Nathalie Montes

   17 avril 2012 at 8 h 27 min

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   Ca y est, je l’ai fait : j’ai couru mon
   premier marathon et je sais déjà que je recommencerai !! ce fut un pur bonheur ! être aux côtés d’amis asphaltiens qui avaient déjà couru cette distance a été sécurisant pour moi. J’ai veillé à
   ne pas partir trop vite  et surtout à conserver de la régularité dans ma vitesse. J’ai gardé en tête plusieurs conseils de marathoniens ou trailers avertis : regarder autour de soi,
   ressentir son corps, se rappeler des distances et chemins connus quand la fatigue musculaire, les crampes, la douleur de ce genou gauche qui remonte jusqu’en haut de la cuisse se manifestent. ;
   Se mettre dans sa bulle, cela est surtout apparu au 35ème kilos. Mais on ne lâche rien, l’arrivée est proche. . Et là au dernier virage qui mène sur l’avenue Foch, c’est l’émotion : on y arrive;
   J’aperçois la ligne d’arrivée et je lâche les dernières ressources que je possède encore aux côtés de Nathalie D , nos regards se croisent, l’émotion est grande on décide ensemble de donner ce
   que l’on peut, on accélère et … toutes les deux nous franchissons cette ligne ! on marche, on regarde autour de nous : c’est merveilleux; En même temps, je suis encore dans ma
   bulle, presque à ne pas comprendre ce qui vient de se passer: c’est déjà fini.

   Ce n’est qu’aujourd’hui que je réalise
   que j’ai réussi, que tout le travail de préparation a porté ses fruits. Je n’ai quasi aucune douleur à l’exception de mon genou qui se bloque. Je suis bien… sereine et envie de revivre ces
   instants

3. 

   Philippe le marsupilimi kényan

   17 avril 2012 at 8 h 32 min

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   Encore un marathon de terminé, et je continue à prendre toujours autant de plaisir à courir les 42,195km, bien que les derniers kilomètres soient de plus en plus durs à finir. 
   Je n’ai pas eu le plaisir de prendre le RER avec vous; mais j’ai apprécié l’ambiance, avant et après la course, sous la tente BULTEX ainsi que sur la ligne de départ.
   Je remercie Magali, qui a accepté que je lui serve de lièvre jusqu’au 25km, car après c’est elle qui m’a servi de lièvre jusqu’à la porte d’Auteuil.
   Félicitations à toutes et tous et surtout à celles et ceux qui ont franchi pour la première fois la ligne des 42,195km. Bienvenus parmi les marathoniens.

4. 

   Roger

   17 avril 2012 at 8 h 35 min

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   4h58 !!!! C’est mon plus mauvais temps. Normal à mon âge, me direz-vous! … Mais, c’est un record qui va
   figurer sur les tablettes de l’Asphalte puisque aucun V4 du club n’avait jusqu’à présent couru un marathon.
   …. A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire’ En même temps, ce faible record offre un double encouragement : d’abord à tous ceux qui voudront le battre… Allez les V4, à vos baskettes !
   Ensuite parce que, dès l’an prochain, je remets ça. Pour faire mieux bien entendu. C’est un défi que je me porte à moi même. Daniel, d’accord pour aller ailleurs qu’à Paris. Nous étions 24 cette
   année à Paris. Sans doute un record pour l’Asphalte… Objectif 30 à SENART….

5. 

   Serge Bernardin

   17 avril 2012 at 8 h 39 min

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   La peur d’échouer m’a fait gérer ma course de manière précautionneuse. Il fallait que j’arrive au 30eme kilo sans trop de retard (3h35) et
   sans trop de fatigue, car je savais que les 12 kms restants, je pouvais les faire en marchant. J’ai arrêté de me ravitailler (j’étais gavé de sucre, d’eau, de banane, de pâtes de fruit ainsi que
   ma boisson bourrée d’anti-douleur à cause de ma maladie) pour ne pas perdre de temps. Si j’avais eu plus de jus j’aurais pu courir gentiment et finir en moins de 5H, mais j’ai préféré marcher
   vite (j’ai même doublé des zombies, des boiteux, hagards ils ne me répondaient pas quand je les encourageais).

   Bref je termine en 5h19 satisfait car je n’ai pas le niveau pour faire mieux. Je vais prévoir de faire un autre marathon mais en moins de 5h
   cette fois ! 

6. 

   Michel Robert

   17 avril 2012 at 8 h 43 min

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   Ma journée a été calme et détendue. J’ai revécu ‘mon marathon’. J’ai les cuisses un peu dures, mais rien de méchant. Je suis
   vraiment très content d’avoir fait cette course surtout dans les conditions dans lesquelles elle s’est déroulée. 
   Merci donc à vous tous de m’avoir permis d’y participer en m’entraînant avec vous, en m’encourageant et en m’accompagnant. Merci Behl, merci Monia d’avoir tenu les 42km à mes côtés.
   Merci Roger, Christian, Isabelle, les Nathalie, Daniel, les Fred, Magali, le marsupilami et  Hervé.
   Merci Bultex.

7. 

   Magali Jouves

   17 avril 2012 at 8 h 58 min

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   Que du bonheur, j’ai
   profité de chaque moment de chaque rencontre, je me suis amusée.

   Je remercie chacun
   d’entre vous. Grâce à tous j’ai vécu un premier Marathon avec le sourire du début à la fin (bon je n’ai pas osé me lâcher peur du mur … qui n’est jamais arrivé !)

   Alors je reste sur une
   belle promenade, je reste sur un entraînement exigent, plus dur pour moi que le marathon.

   Je remercie Bernard pour
   sa présence qui m’a mis du baume au cœur à chacune de ses apparitions.

   Je remercie le
   Marsupilami, que je ne pourrai oublier, bravo pour ce courage de courir ainsi vêtu,

   Et voilà c’était mon fil
   conducteur, mon ancre, merci de m’avoir ainsi accompagné…

   Et comme dit Daniel,
   chaque moment étaient agréable et inoubliable, les mails, le RER, Bultex…………

   QUE DU
   BONHEUR

8. 

   Magali Gontier

   17 avril 2012 at 9 h 01 min

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   Je me suis
   régalée et j’ai surtout apprécié toutes les attentions des uns et des autres. Ca aide beaucoup il faut l’avouer.

   L’attente
   au départ était longue mais on n’a jamais rien sans rien. Et à moi de progresser pour attendre moins longtemps. On peut toujours rêver !!!!!

   Le marathon
   en lui même était bien sympa, même si j’ai souffert pas mal.

   Je suis
   super contente pour Serge, il s’est débrouillé comme un chef.

   Et le
   passage au bois avec le soutien de l’Asphalte était top.

   Les jambes
    tiennent le choc, tant qu’elles ne montent ni ne descendent les escaliers !!!!!!!! 

   Pour terminer, je sais que 10 minutes gagnées, ce n’est pas grand chose, mais  je suis aux anges.

9. 

   François Le SecGén

   17 avril 2012 at 14 h 57 min

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   Que de joie de voir tous ces commentaires. Bravo à celles et ceux qui finissent leur premier marathon ! Bravo aux autres aussi, belle équipe à l’arrivée, tous Finishers ou presque. Petite pensée
   aux absents (Bernard sur son VTT était bien sur le bord). Nous avions prévu de nous retrouver après l’arrivée mais j’ai déjà eu tellement de mal à retrouver Fred que j’ai vite abandonné l’idée
   d’une attente devant une minuscule lettre F mal indiquée et dans un froid glacial. J’image que vous avez apprécié d’être au chaud dans la tente Bultex. Donc pas de regrets ! Sauf celui de ne pas
   avoir pu partager ensemble.

   Pour ma part, parti devant j’ai vu Mouloud me rejoindre vers le 7e km derrière la 2e flamme des 3h. Vas-y Mouloud ! Lâche rien ! Parti un peu vite quand même, je passe le semi en 1h31
   juste après les derniers meneurs en 3h (j’en ai compté 4 ou 5 en tout) et là je me dis que la fin va faire très mal. Les quais sont noirs de monde, il y a une ambiance de folie et ça
   passe sans trop de difficulté, juste les remontées des tunnels sont un peu plus pénibles. Mais je reste lucide. Fred est là au 30e sous le métro Javel, je lui lance un bisou et je gère, ça
   va encore. Avenue de Versailles… Paf ! Les premières crampes me saisissent, et là je sais que ça va être très très dur. La jambe gauche ne suit plus puis c’est au tour de la droite, et
   puis ça s’en va et ça revient (T’as fait le marathon Cloclo c’est pas possible !). Dans la tête je gère, je ne ressens pas de fatigue, je me suis bien alimenté, juste les cannes qui gigotent
   sur des oeufs à la limite de la tétanisation. Roland-Garros, Jalabert me passe derrière sa moto que j’ai failli foutre en l’air puis Justin comme un avion… Come on Justin ! 35e montée
   de l’hippodrome dans la douleur, ça n’en fini pas, puis longue fin de parcours dans le bois de Boulogne avec le vent du nord dans la figure et quelques faux plats qui m’arrachent des grimaces de
   douleurs terribles dans les jambes. Je finis à l’énergie mais à la ramasse, complètement vidé par les crampes. Objectif moins de 3h15 atteint mais avec le sentiment mitigé d’avoir fait
   une bone 1ère partie et d’avoir mal négocié ma fin de course (2e semi en 1h43, ça calme). Et un de plus à Paris dans la musette !

   Merci à l’ambiance Asphalte du matin dans le RER, merci aux supporters asphaltiens que j’ai vu nombreux sur le bord de la route (les mêmes à 3 endroits différents ! J’ai cru halluciner) et
   aux nombreux encouragements qui vont avec. Next time peut-être, ce sera une autre expérience, un autre recommencement… Et l’envie de toujours moins souffrir et de prendre du
   plaisir !

10. 

    Duterte Nathalie

    17 avril 2012 at 15 h 32 min

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    C’était mon 7e marathon, et c’est mon préféré ! C’était tellement sympa d’être tous ensemble. J’ai pris un réel plaisir, à ce point-là, je n’en revenais pas, j’ai profité jusqu’au bout. Le fameux
    mur ne s’est pas présenté, la douleur dans les jambes s’est installée, mais est restée tout à fait gérable : le rêve ! Et puis le temps frais m’allait bien. Bref : j’ai battu mon record de 16
    minutes : 4h07 ! Une vrai surprise pour moi. Je vais être contrainte de viser 4h pour le prochain ! Merci à Nathalie M : on ne s’est pas quittées pendant 42,195 km ! Merci à Monia, à Michel, à
    Fred Cavalli qui m’attendait au 30e, à Fred Coler (dommage qu’on se soit loupés!) ! Merci à vous tous amis marathoniens et un grand merci à tous nos supporters pour leurs chaleureux
    encouragements !

11. 

    beatrice wenclaw

    19 avril 2012 at 17 h 01 min

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    Mes félicitations aux marathoniennes et marathoniens et un grand merci de me donner cette chance de t’accompagner, Roger, sur les derniers kilomètres du
    parcours. Quelle leçon de courage, de volonté d’aller jusqu’au bout de soi-même, de solidarité…merci ROGER’

    Béatrice

12. 

    arjouni monia

    22 avril 2012 at 10 h 45 min

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    Je n’aurai qu’un mot. Bravo les finishers, les accompagnateurs. Un spécial merci à Bhel. Un brand brao à MichelR pour son premier marathon et pas le dernier. N’est ce pas Michel?

    Monia

13. 

    christian pallandre

    25 avril 2012 at 9 h 21 min

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    Deux semaines après le marathon de Paris c’est comme si vous sortiez d’une petite période de faiblesse où vous vous étendiez sur un transatlantique avec un plaid sur les genoux en buvant une
    infusion légère. C’est comme un détour dans la maison de votre grand tante, à Buzançais dans l’Indre, où la magnifique horloge sonne les heures et les quarts, c’est une période de sous
    utilisation de vos capacités physiques avec la seule possibilité pour vous que de regarder où choisir un prochain marathon, à Lyon, Toulouse, Nice ou la Rochelle. C’est aussi ceux
    qui vous disent que vous avez réussi quelque chose de bien, de beau, d’inutile certes mais n’est ce pas le plus beau ? finalement le marathon ne s’arrête pas sur la ligne d’arrivée.
    Pensées renouvelées à Cathy et Bernard qui se joindront à nous la prochaine fois et à Michèle T. et Angela R. qui partent courir à Genève le marathon UNICEF.

    CP