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FREE to RUN

Sans avoir encore vu le film, sans savoir si à cette heure beaucoup d’entre vous l’ont vu, n’en ayant entendu dire que du bien, nous soulignons la sortie en salle du film « Free to run » qui intéressera je l’espère beaucoup de nos adhérents.

FREE to RUN

Retrouvez l’annonce du film sur le site de la FFA : http://www.athle.fr/asp.net/main.html/html.aspx?htmlid=5029

 ATTENTION : peu de salles, peu de séances annoncées :

  • Cinéma « Reflet Médicis », Paris 5ème, à partir du vendredi 15, séances à 13h50, 15h50, 17h50, 19h50, 21h50,
  • MK2 Beaubourg, Paris 3ème, à partir du vendredi 15, séances à 12h50, 15h10, 17h30, 19h50, 22h05,
  • Publicis Paris 8ème, à partir du vendredi 15, séances à 13h45, 18h45, 21h00.

5 Comments

  1. Christian

    La Tragédie du dossard 512 actuellement à la Comédie de Paris est également à l’affiche pour les coureurs qui ont une ambition, finir leur course et si possible vivants ! Christian

  2. Daniel

    Ce film est incontournable pour qui dit aimer la course à pied. Si vous êtes un vieux routard qui a usé des dizaines de paires de running sur toutes les routes de France et d’ailleurs vous y reverrez des visages connus, qui comme nous ont quelque peu vieilli mais qui parlent avec toujours autant d’enthousiasme de leurs carrières de pionniers de la discipline. Vous y retrouvez l’ambiance de ces courses des années 70/80 quand les courses sur routes étaient interdites par certaines fédérations, quand les femmes qui n’avaient pas le droit de courir étaient éjectées des pelotons par les organisateurs manu militari et quand les marchands du temple n’avaient pas encore envahi les villages départ.
    Si vous êtes plus jeunes ou que vous avez découvert la course à pied plus tard des noms tels que Fred Lebow, Kathrine Switzer, Steve Prefontaine ne vous disent certainement rien et pourtant sans eux, et d’autres, vous ne pourriez pas vous adonner à ce sport qui nous réunit, cette course à pied qui nous manque tant lorsque nous sommes blessés et qui nous donnent l’illusion que nous restons plus jeunes que les autres. Si ce n’est pas trop tard ne manquez pas cette occasion de parfaire vos connaissances en la matière, vous serez étonnés de l’évolution de la discipline en si peu de temps. Vous constaterez que ce qui semble naturel aujourd’hui était loin de l’être il y a encore une quarantaine d’années. Je suis sûr que vous ne le regretterez pas !

  3. Bernard Brient

    On découvre 5 tableaux :
    – Le suisse Noêl TAMINI et le français Yves JEANNOTAT avec la revue ‘SPIRIDON’.
    – L’américaine Kathrine SWITZER, la pionnière qui a participé en 1967 au Marathon de Boston.
    – L’américain Steve PREFONTAINRE le ‘James DEAN’ de la piste qui a été le fer de lance pour rémunérer les athlètes de haut niveau en course à pied.
    – L’américaine Joan BENOIT qui remporte le premier marathon olympique féminin, à Los Angeles en 1084
    – Fred LEBOW modeste coureur qui adore l’esprit de la course à pied, visionnaire très inspiré et ambitieux qui a associé le running et le business.
    L’activité de la course à pied est par vocation naturelle, mais avec l’essor du gigantisme, est devenu la proie du bisness.

    Un peu d’histoire
    Naissance dans les années 70 avec l’arrivée des termes Jogging ou Footing venus de Etats Unis.
    En 1896 le premier marathon connu a eu lieu à Paris. En 1908 la distance est officialisée au marathon de Londres .
    Spiridon a contribué à libérer la course à pied de multiples contraintes.
    Ces contraintes sont imposées par la règlementation aberrante qui ne prend pas en compte que les femmes par nature sont plus endurantes que les hommes. .
    L’idée de la course libre hors du stade petit à petit a fait tomber les barrières.
    Puis, discrètement , presque sournoisement, et par la suite de manière éclatante, l’argent s’est immiscé dans la course à pied.
    L’activité de la course à pied par vocation naturelle . c’est l’essor du gigantisme, devenu la proie du bisness
    Le film Free to Run retrace l’histoire de la course à pied depuis les promoteurs de la course libre jusqu’à maintenant.
    Les qualificatifs et les préjugés font sourires .
    Le film aborde la pionnière Kathrine Switzer qui a participé en 1967 au Marathon de Boston. La distance max était de 1500m. ceux sont les prémices de la libération et l’émancipation de la femme
    .
    Noel TAMINI avec Yves JEANNOTAT ont commencé à a pratiquer en 1960 . en 1972 sort la première revue SPIRIDON qui durera jusqu’en 1986. C’est le départ d’une démocratisation de la Course à pied.
    Le film reprend une galerie de portraits
    C’est l’Américaine Joan Benoit qui remporte le premier marathon féminin à des Jeux olympiques. A Los Angeles en 1984. « Un jour historique » pour Kathrine Switzer qui commente la compétition à la télévision.
    On découvre Steve PREFONTAINRE le James DEAN de la piste qui a été le fer de lance pour rémunérer les athlètes de haut niveau en course à pied.
    On croise aussi Fred LEBOW avec le running et le business. Ce roumain immigré qui adore l’esprit de la course à pied. Très inspiré, modeste coureur, visionnaire et ambitieux en affaire.
    Bon film.

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