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L’échappée belle… le live

Il est arrivé !

Thierry à franchi la ligne salvatrice à 10h37 ce dimanche. Il réalise le temps de 52h37'50''. Le temps limite était de 54 heures. Il se classe 263ème/275, 27ème de sa catégorie M3M.

Exactement 50% de finishers (275/550).

On attend ses commentaires comme ceux de Boris.

De tels paysages, ça se mérite ! (photo site de l'organisation).

De tels paysages, ça se mérite ! (photo site de l'organisation).

Thierry est passé à 7h22 au dernier contrôle avec 38 minutes d'avance sur le temps limite ! C'est dans la poche ! Arrivée estimée vers 11h. Plus rien ne peut plus l'empêcher d'aller sonner la cloche, symbole de la délivrance pour les "finishers".

Photo site de l'organisation.

Photo site de l'organisation.

Dimanche 6h : Après 24 heures de course 161 coureurs ont franchi la ligne d'arrivée. Il en reste environ 120 sur le parcours. On dénombre 50% d'abandon, c'est dire la difficulté de l'épreuve malgré des conditions  météorologiques qui semblent pourtant clémentes.

Il reste à Thierry deux heures pour atteindre Le Pontet où il passera la dernière barrière horaire, ultime juge de paix ! Il aura encore 14 km à parcourir dont la difficile montée vers le fort de Montgilbert (4,6 km à 10% de moyenne).

Que la montagne est belle la nuit ! (photo site de l'organisation)

Que la montagne est belle la nuit ! (photo site de l'organisation)

Samedi 23 h :Thierry vient de passer à 22h54 au contrôle d'Arpingon. Le prochain contrôle est à Val Pelouse, 5 km plus loin, au 118ème km. La barrière horaire à ce point est fixée à 2h du matin. 3h pour parcourir 5 km même en montagne et de nuit ça devrait le faire !

Ce que Thierry ne verra pas de nuit ! (photo site de l'organisation).

Ce que Thierry ne verra pas de nuit ! (photo site de l'organisation).

A son tour Boris Leguy vient de passer la ligne d'arrivée après 35h30'31'' d'effort. Il prend une excellente 25ème place, 15ème sénior. Il va en avoir des choses à nous raconter !

Pour sa part Thierry Lardenois poursuit sa progression. Le cap des 100 km parcourus est franchi. Il a passé le contrôle de Super Collet peu avant 17h. Il a toujours plus d'1h de marge par rapport à la barrière horaire de ce point. Allez Thierry, on souffre avec toi !

Photo site de l'organisation

Photo site de l'organisation

Yann Guillerm vient de passer la ligne d'arrivée en 11ème position, 2ème M2M, dans le temps de 32h13'18''. Bravo à lui ! Quel dommage qu'il ne porte plus le maillot de l'Asphalte 94 !!!

Photo site de l'organisation

Photo site de l'organisation

Ce week end se déroule près de Grenoble l’ultratrail de Belledonne, l’Echappée Belle.

A cette heure François d’Haene l’a déjà emporté parcourant les 149 km du parcours agrémentés de 11.400m de déniv + et autant de – en moins de 24 heures, pulvérisant le record de l’épreuve de plus de 2 heures et laissant son second à plus de 5 heures !

574 inscrits, 550 au départ et déjà 220 abandons ou mis hors course à mi-parcours.

Parmi les rescapés encore en lice trois noms nous sont familiers :

A quelques heures de l’arrivée Boris Leguy bataille ferme. Il est actuellement 34ème au scratch, 17ème SEM. Il se trouve entre Val Pelouse et Le Pontet et il avance régulièrement ce qui lui promet un beau classement.

Derrière, Thierry Lardenois pour son dernier ultra en M2M se bat bien. A mi-course il avait 1h30 d’avance sur la barrière horaire, hantise de tous les participants. Il se trouve entre Périoule et Super Collet et devra passer une deuxième nuit à la belle étoile.

Un autre nom attire notre attention. Yann Guillerm, ancien asphaltien désormais exilé en Bretagne, bagarre pour la première place en M1. Parti second de sa catégorie il a pris la première place hier en fin de journée et vient de la perdre pour quelques minutes. Il devrait arriver vers 15h, non loin de la 10ème place au scratch.
 

L’échappée belle... le live

4 Comments

  1. Thierry LARDENOIS

    Je viens de découvrir ce live. Merci à toi Daniel et désolé si j’ai écourté 2 de tes nuits. C’est vrai que j’ai eu chaud aux fesses. En effet je ne pouvais plus me permettre de dormir la seconde nuit au risque de rendre mon dossard, et ça il n’en était pas question !
    Les barrières sont de plus en plus serrées à moins que ce soit moi qui prenne de l’âge !

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